The Imperial Paper

que de violence :aie:

C'est cool Wink

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Édition du 11 Juillet 2014

La Une : Et pendant ce temps-là en Philicie.

Emblème du mouvement ayant pris le contrôle de l'ex-Urbania.

Et de 2 ! C'est le deuxième pays cette année à connaître une guerre civile et à s'effondrer militairement et politiquement.
Mais contrairement à l'Aerius, où une organisation terroriste criminelle s'étant emparée du pays tout en menaçant nos intérêts directs, nécessitant donc une perspective d'intervention militaire, le sort de l'ancienne Urbania est plus éloigné de nous.

Ce pays s'est effondré suite à une prise de pouvoir hostile d'un petit groupe d'individus qui s'est empressé de constituer prisonniers les anciens membres du gouvernement déchu.
En premier lieu, la possibilité d'une continuité de l’État fut envisagée avant que celle ci ne soit écartée par les interventions communes de nombreux pays philiciens, alliés économiques et/ou militaires de l'ancienne Urbania, ainsi que d'autres pays du monde ne soit enclenchée. La guerre totale ayant été décrétée en réponse par les insurgés refusant en bloc l'idéologie politique et sociale de bon nombre des pays de notre planète, une perspective de poursuivre le régime semble écartée.

Les insurgés s'organisent autour d'une action militaire de grande envergure afin de défendre leur nouvelle société contre les anciens alliés de l'Urbania, décidés à rétablir le régime déchu.
Une mobilisation générale d'hommes et de matériel est lancée dans tout le territoire sous le contrôle de l'organisation.

Face à cette nouvelle flambée de violence, l'Empereur lui même a affirmé que l'Empire ne connaîtrait aucune intervention militaire tant que le conflit restera localisé dans l'ex-Urbania avec qui il n'y avait aucun contact commercial.
Il a souhaité lors d'une conférence de presse ce matin que l'Empire connaisse une nouvelle période de stabilité politique et militaire après les évènements situés au sud du pays.
Il a également déclaré "très regrettable" l'intervention précipitée de l'Aerius fraîchement rétabli de sa guerre civile et espère qu'une absence de l'armée n'entrainera pas une nouvelle chute du régime encore très instable politiquement.

L'écologie, une belle connerie, selon des habitants de nombreux pays.

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Image prise depuis une petite ville de Gallia (Philicie).

C'est un constat réalisé depuis longtemps par l'Empire et par l'Amicale des Pollueurs est désormais partagé par de nombreux habitants partout dans le monde où l'écologisme sévit tel la peste noire dans les époques anciennes.
Ces infrastructures, non contentes de consommer plus d'électricité pour leur production et leur entretien que ce qu'elles ne vont produire pendant toute leur durée de vie, polluent le paysage et la vie des habitants.
Les personnes se plaignent d'un paysage gâché par ces monstres d'acier informes de plusieurs dizaines de mètres de haut.

« Une éolienne, c’est un monstre de 120, parfois 150 mètres de haut, qui tourne même la nuit, fait du bruit et clignote. Cela se voit à 30 kilomètres ! précise Claudette Zainzain, présidente de l’association Face au Vent. Vivre au quotidien avec l’une de ces machines devient vite un enfer. Dans notre ville, la vue est désormais brisée par ces quatre monstrueuses tours de fer. ».

Des répercutions sont également observées sur la vie des habitants, ils se plaignent d'un niveau sonore constant et insupportable de la part de ces centrales à nuisances.
Le bruit sourd des turbines est accentué avec la force du vent qui devient très vite extrêmement désagréable pour les foyers situés à proximité. Les gens se plaignent d'un bruit qui les empêche de manger dehors avec leurs convives ou de dormir la fenêtre ouverte. Les puissants flashs générés la nuit par ces tours afin d'éviter les collisions aériennes constituent également une nuisance supplémentaire au sommeil des habitants.

"Depuis que le Polaro est entré dans l'organisation Over-Green, j'ai vu ces machins pousser juste à côté de mon pâturage" S'exclame Gégé Pinard. "ça fait un bruit pas possible, c'est moche et ça fait peur à mes vaches, elles produisent de moins en moins de lait et leur viande devient nerveuse. Si ça continue, je vais demander à d'autres fermier de tous venir avec leur tracteurs et on va les abattre ces trucs".

La réaction de rejet des éoliennes de vient de plus en plus forte, surtout dans les pays qui subventionnent ces énergies "alternatives". Car ces subventions sont en grande partie financées par des taxes sur les factures d'électricité, ce qui passe très mal chez les clients des différentes compagnies d'approvisionnement.
Ils ont l'impression de financer un système soutenu par les lobbys écologistes, très puissants dans ce genre de pays.