- JackDuckMembre Émérite
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Re: iTV, Dim 14 Jan 2018 - 15:22
On sent l'inspiration de la Catalogne dans ce RP ...
L'édition est très bien, gros +1 pour le graphique qui est très bien fait.
L'édition est très bien, gros +1 pour le graphique qui est très bien fait.
Re: iTV, Mer 17 Jan 2018 - 20:37
C''est vrai que si tu fais comme la catalogne on va connaitre les résultats du RP avant ça fin, mais j'espère que tu seras plein de surprises x)
Articles court, ce qui n'est pas désagréable pour rapidement s'informer, et sympa
Articles court, ce qui n'est pas désagréable pour rapidement s'informer, et sympa
- mickael85190Journaliste du Dimanche
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Re: iTV, Ven 4 Mai 2018 - 17:01
Tous les articles présents sont aussi publiés sur le site d'iTV, pour une meilleur mise en page pour ceux qui le souhaitent
Trois petits articles aujourd'hui centrée sur l'actualité nationale.
L’ex-vice-président de la Communauté de Minel, Nicolas Coset a été présenté le 26 avril à un juge en Ancore après son arrestation le 22 avril.
Le 22 avril à 22h05, le vice-président déchu de Minel a été arrêté par la police ancorienne à l’aéroport de Waltenburry-Sheridan. L'ancien vice-Président était sous le coup d'un mandat d'arrêt philicien émis par la justice Haradienne, qui l'accuse notamment de rébellion avec violence notamment dans le cadre des élections du 7 janvier, et de désobéissance à l'état central, des faits passibles de 15 ans de prison. Il est aussi recherché par la justice pour avoir incité à Jérome Paquette de déclarer unilatéralement l’indépendance de Minel le 10 décembre dernier.
Nicolas Coset a été présenté devant le juge ce samedi 28 avril afin de définir si la mesure d’extradition réclamée par la justice Haradienne est applicable. La justice ancérienne devra ensuite décider dans les prochains jours d’une remise à l’Harada, selon le média The Ancorian Times.
La décision d’extrader – ou non – Nicolas Coset devrait être donnée dans les prochains jours par la justice Ancorienne.
Le Minel se trouve de nouveau dans l'impasse politique après le vote d'une question de confiance refusée par une majorité du Parlement Minelois.
Le Parlement Minelois était convoqué en séance extraordinaire pour trouver, pour la 4 ème fois consécutive un successeur à Emmanuel Ostian, qui a subi un "non" lors du référendum pour l'indépendance de la région, et un "non" lors d'un vote de confiance au parlement régional.
S'ils n'y arrivent pas avant le 14 mai, le parlement et le gouvernement régional seront dissous et destitués et de nouvelles élections seront automatiquement convoquées pour le 3 juin prochain. Pour sortir de la crise, il y a 3 scénarios qui sont possible.
De nouvelles élections anticipées, où se dégage une majorité unioniste
C'est ce que réclame les partis unionistes, qui, n'ayant pas la majorité absolue au Parlement Régional, refusent d'investir un candidat indépendantiste et refusent de négocier une investiture en alliance avec les partis séparatistes.
Une majorité unioniste permettrai de voter de nombreux projets de lois, notamment la validation du projet PhiliRails, dont le vote est bloqué par les 13 députés de "Oui à Minel - Non à l'Harada et à l'UP", ou encore la proposition de loi relative à la construction de nouveaux établissements de santé, d'éducation...
Une nouvelle mise sous tutelle de la région par le gouvernement central
Si aucun candidat n'est investi d'ici au 14 mai, le gouvernement régional sera obligé de démissionner (dû au refus du vote de confiance en mars dernier) et le Parlement régional sera dissous et des élections convoquées pour le 3 juin.
Cette option permettrai au gouvernement central de contrôler les finances publiques de la région, ses infrastructures... conformément à la réforme territoriale de 2017.
Cependant, une nouvelle mise sous tutelle parait difficile à mettre en place : elle doit être validé par le Parlement national. Certains députés ne voteront clairement pas pour une nouvelle mise sous tutelle de la région.
Dans le passé, une mise sous tutelle a déjà été votée par le Parlement national, avant une déclaration d'indépendance illégale faite par l'ex-gouvernement régional de Jérome Paquette, le 27 novembre 2017.
Un gouvernement central "médiateur" entre les différents partis afin de nommer un candidat
Enfin, l'option préférée des indépendantistes d'"EPIN" est que le gouvernement central soit un médiateur de la formation d'un nouveau gouvernement régional, chose que se refuse de faire le gouvernement central, via la parole du Délégué du Gouvernement central à Bronne.
Le conflit social, qui oppose des syndicats de la compagnie Haradair à la direction et à la compagnie Ancorian Airlines, va entrer dans la quinzième journée de grève, après deux semaines sans grèves.
Les syndicats inflexibles sur le projet de rachat...
La direction a dans un premier temps proposé une hausse des salaires de 5%. Refus catégorique pour les syndicats.
Le Syndicat des Pilotes d'Haradair (SPH), depuis le début du conflit, s'est montré inflexible face aux propositions des dirigeants d'Haradair pour mettre fin au conflit social.
... comme la direction d'Haradair et d'Ancorian Airlines
Face aux pressions des syndicats, la direction refuse de lâcher du lest. Fin Avril, un nouveau texte censé arrondir les angles a été proposé aux salariés. Encore ici, nulle idée d'abandonner le rachat de la compagnie.
Le conflit social commence à couter cher à la compagnie
Ce conflit, qui coute déjà 300 millions de Phillions à l'entreprise selon la direction, pourrait encore durer puisque la grève pourrait être reconduite à une majorité.
La direction d'Haradair a prévu de rencontrer le Ministre des Transports Thomas Thalès ce week-end. Les syndicats demandent au gouvernement de servir « d'intermédiaire » et de « décideur final » entre la direction d'Haradair et Ancorian Airlines sur le projet de rachat.
Trois petits articles aujourd'hui centrée sur l'actualité nationale.
Nicolas Coset, le 28 novembre 2017, la veille de la destitution du gouvernement autonome.
L’ex-vice-président de la Communauté de Minel, Nicolas Coset a été présenté le 26 avril à un juge en Ancore après son arrestation le 22 avril.
Le 22 avril à 22h05, le vice-président déchu de Minel a été arrêté par la police ancorienne à l’aéroport de Waltenburry-Sheridan. L'ancien vice-Président était sous le coup d'un mandat d'arrêt philicien émis par la justice Haradienne, qui l'accuse notamment de rébellion avec violence notamment dans le cadre des élections du 7 janvier, et de désobéissance à l'état central, des faits passibles de 15 ans de prison. Il est aussi recherché par la justice pour avoir incité à Jérome Paquette de déclarer unilatéralement l’indépendance de Minel le 10 décembre dernier.
Nicolas Coset a été présenté devant le juge ce samedi 28 avril afin de définir si la mesure d’extradition réclamée par la justice Haradienne est applicable. La justice ancérienne devra ensuite décider dans les prochains jours d’une remise à l’Harada, selon le média The Ancorian Times.
Cela ne signifie cependant pas que M. Coset va être extradé mais que la procédure d’extradition a été lancée. Il s’agit donc de vérifier que cette procédure est admissible à Ancore. La décision revient à la justice Ancorienne.
La décision d’extrader – ou non – Nicolas Coset devrait être donnée dans les prochains jours par la justice Ancorienne.
E. Ostian, lors de son investiture au Parlement Minelois, le 27 janvier dernier.
Le Minel se trouve de nouveau dans l'impasse politique après le vote d'une question de confiance refusée par une majorité du Parlement Minelois.
Le Parlement Minelois était convoqué en séance extraordinaire pour trouver, pour la 4 ème fois consécutive un successeur à Emmanuel Ostian, qui a subi un "non" lors du référendum pour l'indépendance de la région, et un "non" lors d'un vote de confiance au parlement régional.
S'ils n'y arrivent pas avant le 14 mai, le parlement et le gouvernement régional seront dissous et destitués et de nouvelles élections seront automatiquement convoquées pour le 3 juin prochain. Pour sortir de la crise, il y a 3 scénarios qui sont possible.
De nouvelles élections anticipées, où se dégage une majorité unioniste
C'est ce que réclame les partis unionistes, qui, n'ayant pas la majorité absolue au Parlement Régional, refusent d'investir un candidat indépendantiste et refusent de négocier une investiture en alliance avec les partis séparatistes.
Une majorité unioniste permettrai de voter de nombreux projets de lois, notamment la validation du projet PhiliRails, dont le vote est bloqué par les 13 députés de "Oui à Minel - Non à l'Harada et à l'UP", ou encore la proposition de loi relative à la construction de nouveaux établissements de santé, d'éducation...
Une nouvelle mise sous tutelle de la région par le gouvernement central
Si aucun candidat n'est investi d'ici au 14 mai, le gouvernement régional sera obligé de démissionner (dû au refus du vote de confiance en mars dernier) et le Parlement régional sera dissous et des élections convoquées pour le 3 juin.
Cette option permettrai au gouvernement central de contrôler les finances publiques de la région, ses infrastructures... conformément à la réforme territoriale de 2017.
Cependant, une nouvelle mise sous tutelle parait difficile à mettre en place : elle doit être validé par le Parlement national. Certains députés ne voteront clairement pas pour une nouvelle mise sous tutelle de la région.
Sabrina Zeliote, député LRP au Parlement National a écrit:Une mise sous tutelle doit être engendrée par un refus d'obéir à la loi fondamentale. dans ce cas, il n'y a pas viol de la loi, donc il n'y a aucune raison pour voter une mise sous tutelle.
Dans le passé, une mise sous tutelle a déjà été votée par le Parlement national, avant une déclaration d'indépendance illégale faite par l'ex-gouvernement régional de Jérome Paquette, le 27 novembre 2017.
Un gouvernement central "médiateur" entre les différents partis afin de nommer un candidat
Enfin, l'option préférée des indépendantistes d'"EPIN" est que le gouvernement central soit un médiateur de la formation d'un nouveau gouvernement régional, chose que se refuse de faire le gouvernement central, via la parole du Délégué du Gouvernement central à Bronne.
Tristan Noël, délégué du gouvernement central dans la Communauté Autonome de Minel a écrit:Les partis politiques minelois doivent dialoguer pour former un gouvernement. Nous ne sommes pas habilités à interférer dans les échanges entre les partis, et à forcer l'investiture d'un candidat.
Le conflit social, qui oppose des syndicats de la compagnie Haradair à la direction et à la compagnie Ancorian Airlines, va entrer dans la quinzième journée de grève, après deux semaines sans grèves.
Les syndicats inflexibles sur le projet de rachat...
La direction a dans un premier temps proposé une hausse des salaires de 5%. Refus catégorique pour les syndicats.
Pilote anonyme syndiqué. a écrit:Ce que nous propose la direction, c'est une augmentation des salaires. Mais ce que nous demandons, c'est le retrait pur et simple du projet de rachat. Qui nous dit qu'Ancorian Airlines ne vas pas annuler ces augmentations de salaires ?
Le Syndicat des Pilotes d'Haradair (SPH), depuis le début du conflit, s'est montré inflexible face aux propositions des dirigeants d'Haradair pour mettre fin au conflit social.
Laurent, pilote sur les lignes régionales. a écrit:Ça va se passer comment à la fin si on suit la direction ? Les pilotes, on va leur donner de quoi s'en sortir. le personnel au sol et les passagers, ils trinqueront. On aura des suppressions d'effectifs, on aura des réductions de personnel voir même des suppressions de lignes.
... comme la direction d'Haradair et d'Ancorian Airlines
Face aux pressions des syndicats, la direction refuse de lâcher du lest. Fin Avril, un nouveau texte censé arrondir les angles a été proposé aux salariés. Encore ici, nulle idée d'abandonner le rachat de la compagnie.
La direction d'Haradair a écrit:Nous pensons qu'aller plus loin, ce serait remettre en cause l'équilibre déjà fragile de la compagnie, d'autant qu'Haradair est la compagnie la plus faible de toutes les grandes compagnies philiciennes.
Le conflit social commence à couter cher à la compagnie
Ce conflit, qui coute déjà 300 millions de Phillions à l'entreprise selon la direction, pourrait encore durer puisque la grève pourrait être reconduite à une majorité.
La direction d'Haradair a prévu de rencontrer le Ministre des Transports Thomas Thalès ce week-end. Les syndicats demandent au gouvernement de servir « d'intermédiaire » et de « décideur final » entre la direction d'Haradair et Ancorian Airlines sur le projet de rachat.
Re: iTV, Ven 4 Mai 2018 - 17:13
Wow quel magnifique site! J'adore! Tu as utilisé quel plateforme pour le faire?
En tout cas, bravo, tu as beaucoup de talent.
En tout cas, bravo, tu as beaucoup de talent.
- mickael85190Journaliste du Dimanche
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Messages : 1359
Re: iTV, Ven 4 Mai 2018 - 17:22
Merci gandalf ^^
Pour le site je passe par un Wordpress, auquel je télécharge un thème qui me plait selon ce que je veux faire
Pour le site je passe par un Wordpress, auquel je télécharge un thème qui me plait selon ce que je veux faire
- SaynwenViking norrois
- .
Messages : 7726
Re: iTV, Ven 4 Mai 2018 - 23:31
Le site est génial ! Et l'article d'excellente facture !
ᚻᛖᚱᚪ ᚩᚷ ᚻᛇᚢᚾᛞᚢᚱ ᚾᚩᚱᛋᛣᚪ ᛫ ᛚᚳᛝᚹᛖᛚᛞᛁᛋᛁᚾᛋ ᛡ ᛏᚹᛟ᛫ ᚦᛢᛋᚢᚾᛞ ᚩᚷ ᚠᛁᛗᛏᚫᚾ ᛫ ᚠᚱᛖᛚᛋᛁ ᛖᛝᚪ ᛞᚪᚢᛝᚪ ᛫ ᚹᛁᛝ ᛋᚫᚢᛗ ᛖᛣᛁ
Re: iTV, Sam 5 Mai 2018 - 11:48
D'excellent articles, le site est top aussi mais pense à y rajouter tes anciennes éditions pour le gonfler niveau contenu Continue !
- SaynwenViking norrois
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Re: iTV, Mer 9 Mai 2018 - 22:24
ᚻᛖᚱᚪ ᚩᚷ ᚻᛇᚢᚾᛞᚢᚱ ᚾᚩᚱᛋᛣᚪ ᛫ ᛚᚳᛝᚹᛖᛚᛞᛁᛋᛁᚾᛋ ᛡ ᛏᚹᛟ᛫ ᚦᛢᛋᚢᚾᛞ ᚩᚷ ᚠᛁᛗᛏᚫᚾ ᛫ ᚠᚱᛖᛚᛋᛁ ᛖᛝᚪ ᛞᚪᚢᛝᚪ ᛫ ᚹᛁᛝ ᛋᚫᚢᛗ ᛖᛣᛁ
Re: iTV, Sam 12 Mai 2018 - 12:29
Bien que le verbe "nommer" pour un président élu me fasse tiquer un peu, un très bon article à l'image de tout ce que tu fais en ce moment !
- mickael85190Journaliste du Dimanche
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Messages : 1359
Re: iTV, Mar 3 Juil 2018 - 23:39
Nouvel article plus ou moins lié aux Mapete Papers, disponible aussi ici
Au moins quarante personnes au total sont soupçonnées d’avoir participé à un vaste réseau de détournements de fonds publics portant sur au minimum 13 millions de ¤Hs soit 12 548 263 de CG (NDLR : 1 CG = 1.04 ¤H ) rien que sur l’année passée. Parmi eux, une vintaine d’élus régionaux et nationaux et responsables du parti de droite.
Financement illicite de campagne électorale
Les candidats aux élections sont encadrés par des règles strictes dans le financement de leurs campagnes électorales.
D’après un document que iTV a pu consulter, grâce à une source anonyme, les comptes de campagnes électorales de Jérome Paquette (présidentielles et régionales) pourraient avoir récupérer des dizaines de milliers de ¤Hs en espèce, depuis des soutiens étrangers mapetiens. Il pourrait également avoir ignoré l’interdiction de recevoir des dons d’un Etat étranger ou d’une entreprise étrangères (article 58 du code électoral), ainsi que l’obligation pour un candidat de lister l’ensemble des recettes et dépenses engagées dans la campagne, chose qui n’a pas été faite.
La loi prévoie, selon les cas, une sanction très lourde de sept ans de prison et 405.000 ¤Hs d’amende soit 390 926 CG.
Tentative de corruption de la justice dans l’affaire de la Déclaration Unilatérale d’Indépendance de Minel en décembre 2017
Le document consulté par iTV montre aussi que le parti a tenté de corrompre certains juges dans le cadre de l’affaire sur la déclaration d’indépendance ratée de décembre dernier, à travers des fonds provenants de différents cabinets Mapetiens.
La corruption, ou même une tentative de corruption, est sévèrement sanctionnée par la loi. Elle prévoit que le corrupteur encourt une peine minimale de 8 ans d’emprisonnement ainsi qu’une amende pouvant atteindre jusqu’à deux millions de CG.
Jérome Paquette n’est pas le seul accusé
Dans cette stratégie, des fonds venant de diverses sociétés Mapetiennes, mais aussi des fonds publics, auraient été détournés par des élus En Avant entre Aout 2017 et Février 2018. Le nom du Président de la Communauté Autonome d’Hennée, Thierry Deterne, apparait dans le document suivant publié par nos sources. Les noms de beaucoup de députés nationaux et régionaux apparait également.
Ce scandale affaiblit d’avantage le parti, déjà affaibli après la déclaration d’indépendance et les nombreux départs qu’à subi le parti il y a quelques semaines.
Paul Guérini, actuel président d'En Avant.
Au moins quarante personnes au total sont soupçonnées d’avoir participé à un vaste réseau de détournements de fonds publics portant sur au minimum 13 millions de ¤Hs soit 12 548 263 de CG (NDLR : 1 CG = 1.04 ¤H ) rien que sur l’année passée. Parmi eux, une vintaine d’élus régionaux et nationaux et responsables du parti de droite.
Financement illicite de campagne électorale
Les candidats aux élections sont encadrés par des règles strictes dans le financement de leurs campagnes électorales.
D’après un document que iTV a pu consulter, grâce à une source anonyme, les comptes de campagnes électorales de Jérome Paquette (présidentielles et régionales) pourraient avoir récupérer des dizaines de milliers de ¤Hs en espèce, depuis des soutiens étrangers mapetiens. Il pourrait également avoir ignoré l’interdiction de recevoir des dons d’un Etat étranger ou d’une entreprise étrangères (article 58 du code électoral), ainsi que l’obligation pour un candidat de lister l’ensemble des recettes et dépenses engagées dans la campagne, chose qui n’a pas été faite.
La loi prévoie, selon les cas, une sanction très lourde de sept ans de prison et 405.000 ¤Hs d’amende soit 390 926 CG.
Tentative de corruption de la justice dans l’affaire de la Déclaration Unilatérale d’Indépendance de Minel en décembre 2017
Le document consulté par iTV montre aussi que le parti a tenté de corrompre certains juges dans le cadre de l’affaire sur la déclaration d’indépendance ratée de décembre dernier, à travers des fonds provenants de différents cabinets Mapetiens.
La corruption, ou même une tentative de corruption, est sévèrement sanctionnée par la loi. Elle prévoit que le corrupteur encourt une peine minimale de 8 ans d’emprisonnement ainsi qu’une amende pouvant atteindre jusqu’à deux millions de CG.
Jérome Paquette n’est pas le seul accusé
Dans cette stratégie, des fonds venant de diverses sociétés Mapetiennes, mais aussi des fonds publics, auraient été détournés par des élus En Avant entre Aout 2017 et Février 2018. Le nom du Président de la Communauté Autonome d’Hennée, Thierry Deterne, apparait dans le document suivant publié par nos sources. Les noms de beaucoup de députés nationaux et régionaux apparait également.
Ce scandale affaiblit d’avantage le parti, déjà affaibli après la déclaration d’indépendance et les nombreux départs qu’à subi le parti il y a quelques semaines.
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