- SaynwenViking norrois
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Re: République norroise, Lun 30 Nov 2015, 18:55
Je viens à l'instant de finaliser ma carte du site! Qu'en pensez-vous?
Vous remarquerez que j'ai rajouté quelques îles à l'aide de la carte, pour rajouter du réalisme et de l'esthétisme. Ne vous inquiétez pas chers amis Haut-Conseillers, elles sont si petites, qu'elles ne me rajoutent quasiment rien dans ma balances tempérances
Vous remarquerez que j'ai rajouté quelques îles à l'aide de la carte, pour rajouter du réalisme et de l'esthétisme. Ne vous inquiétez pas chers amis Haut-Conseillers, elles sont si petites, qu'elles ne me rajoutent quasiment rien dans ma balances tempérances
ᚻᛖᚱᚪ ᚩᚷ ᚻᛇᚢᚾᛞᚢᚱ ᚾᚩᚱᛋᛣᚪ ᛫ ᛚᚳᛝᚹᛖᛚᛞᛁᛋᛁᚾᛋ ᛡ ᛏᚹᛟ᛫ ᚦᛢᛋᚢᚾᛞ ᚩᚷ ᚠᛁᛗᛏᚫᚾ ᛫ ᚠᚱᛖᛚᛋᛁ ᛖᛝᚪ ᛞᚪᚢᛝᚪ ᛫ ᚹᛁᛝ ᛋᚫᚢᛗ ᛖᛣᛁ
- JackDuckMembre Émérite
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Re: République norroise, Lun 30 Nov 2015, 20:29
La carte a l'air bien. Attention en revanche, j'ai l'impression de voir des superpositions de couches, c'est interdit.
- NatsukanMembre Chevronné
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Re: République norroise, Lun 30 Nov 2015, 20:31
Une bien belle réalisation plutôt bien équilibrée
- SaynwenViking norrois
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Re: République norroise, Mer 16 Déc 2015, 16:08
Myname a écrit:Très belle carte !
Merci!Natsukan a écrit:Une bien belle réalisation plutôt bien équilibrée
J'ai justement bien fait attention à cela, tu dois te tromper à cause du relief d'arrière fondJackDuck a écrit:La carte a l'air bien. Attention en revanche, j'ai l'impression de voir des superpositions de couches, c'est interdit.
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- SaynwenViking norrois
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Re: République norroise, Dim 10 Jan 2016, 17:03
L'histoire a été mise-à-jour
Et voilà! Une refonte totale de l'histoire!
Bonne lecture
I. Genèse
___Née des flots venteux de la mer antarctique il y a maintenant près de soixante millions d'années, suite à l'une des éruptions volcaniques les plus violentes qu'ait connue notre monde. Son relief témoigne d'un important volcanisme, causé par la friction des plaques volcaniennes et océaniennes.
Peuplée tardivement, les premières traces écrite en faisant mention remonte au IXe siècle, lorsque qu'un marin et explorateur teuton, Eírik Hadvard, la découvrit par inadvertance en août 812 ap. J.-C. alors qu'il tentait de rejoindre la Mandelsy.
« 15 Janvier 811 ;
L'ancre est levée, le vent de l'hiver souffle. Un dernier regard se pose, vers ma terre natale, ou j'y ai laissé ma femme, et mon propre fils, en sachant, triste, que je ne pourrais sans doute jamais le voir grandir, tel est le péril de cette traversée. Nous partons vers Ol'Goradoc, un important port au Mandelsy, un royaume au nord de l'Océania.
Me serais-je engagé bien hâtivement ? La compagnie du commerce de l'Empire semble pourtant compter sur moi et les marchandises attelées, raconte-t-on, sont de grandes valeurs.
27 Janvier 812 ;
Nous accostâmes à Port Pikö, une crique située sur un archipel à l'ouest de l'Empire Deltan, et à l'est de la mer Atlantide, une vaste étendue bleutée, semblant s'étirer sans fin vers l'inconnu. À la capitainerie, on m'y informa que l"Empereur deltan avait lancé une importante expedition pour franchir l'océan des Bords. Qu'espèrent-ils trouver ? Il n'y a rien là-bas, sauf la mort qui les guette comme un chasseur tapit dans l'ombre des arbres.
29 Janvier 812 ;
Après cette brève escale, je repartis, moi et mes compagnons. Un long voyage nous attend, nous naviguons vers Menlièvre, sur l'embouchure du Delta.
Le ciel est bleu, quoique parsemé par quelques nuages, les dieux semblent être avec nous.
5 Février 812 ;
Nous sommes perdus ! Le vent hurle de froid et de pluie, nous emportant au large vers une l'immensité grise que forment ces nuages de tempêtes, lequel nous y avançons inexorablement, sans rien en faire, entendant, pétrifiés, par la peur de notre devenir, le tonnerre, et la foudre, à l'horizon qui nous semblent devenir toujours de plus en plus proche.
11 Février 812 ;
Deux hommes sont morts aujourd'hui. Emportés par la mer, tel un torrent se déversant sur le pont et la proue du navire. Les minutes me semblent être des heures, terré dans ma cabine, écoutant pluie, le vent, l'eau, ces éléments qui m'inspirent désormais terreur. Je pense sans arrêt à ma famille, les reverrais-je ?
21 Février 812 ;
L'Océan s'est calmé, le vent est tombé. Quel soulagement. Mais, où sommes-nous ? Je n'ose avouer à mes hommes qu'Il [l'océan] nous a perdus.
24 Février 812 ;
Nous commençons à manquer de vivres, nous sommes réduits à abattre nos dernières poules et porcs. Je rêve d'une pomme, d'un verger verdoyant, la terre me manque, en ma vie de marin, jamais ce sentiment ne m'était déjà arrivé. Suis-je plus lier à la Terre que je ne veuille l'admettre ?
11 Mars 812 ;
« Terre, terre ! » hurle une voix. Est-ce bien vrai ? Ce cauchemar sans fin s'est-il bien arrêté ? Depuis combien de temps n'êtais-je pas sorti ? Deux semaines ? Trois ? Peut-être quatre ? J'en ai perdu la notion du temps. Arrivé sur le pont, pour vérifier les dires de mes mousses. Je vis alors des montagnes, blanches comme une rose de printemps et une forêt de pins, tachetées de neige, signifiant la fin de cet interminable hiver. J'entendais aussi les cris des mouettes, pareils à une mélodie que je n'avais depuis longtemps écouté.
Je posais pieds à terre, respirais l'air pur. Nous commençâmes les réparations du navire qui me paraissait exceptionnellement mal au point. Je pris alors quelques de mes fidèles hommes, pour explorer ces environs ; ils chassèrent quelques cerfs et de ces renards, blancs comme je n'en avais jamais vu. Je nous situâmes sur une île, inconnue de nos cartes, au sud des régions les plus australes du continent volcanien. Volcania. Par les dieux, nous sommes à plus de 3000 km d'Ol'Goradoc. Y arriverons-nous un jour ? Quel blasphème, quel sacrilège, quel mal Leurs [les dieux] avons-nous fait ? Nous autoriseront-ils ? Nous autoriseront-ils à revoir nos familles ?
19 Mars 812 ;
Nous reprenons route, nous nous dirigeons vers Tredvic un port situé sur l'île d'Alohen, une colonie rykdomlandaise, où nous y ferons escale avant d'arriver enfin en terres mandeslyiennes.
Si un jour je reviens sur ma terre natale, je parlerais à l'Empereur de cette terre nouvelle, emplie de richesse. »
II. Entre guerres et colonisation
___Revenu en terre teutonne, Eírik cartographia l'île qu'il nomma Þulé, et la présenta à l'Empereur. De nombreux colons s'y embarquèrent vers sa direction, et y fondèrent la cité de Skáholt, en octobre 851. D'abord cent, puis mille l'année suivante et plus de cinq milles une décennie plus tard ; à la fin de ce siècle, ils avaient posés les premières pierres de plus d'une dizaine d'autres villes, à citer comme Ægenholm, Þingvellír, ou encore Ísafjörður.
Alors que la guerre contre les celtes fait rage sur le continent aurinéen, l'empereur teuton imposa aux colons de nouveaux tributs, pour financer le conflit. Opposés, ils prennent les armes, et déclarent leur indépendance. Les thanes des six principales châtelleries se réunirent alors le 14 août 911 pour élire leur premier haut-roi, Endrík áv Liænð ; ils créèrent par la suite l'Álþing, ou l'assemblée des nobles, qui devint dans l'histoire l'un des plus anciens parlements au monde.
Dix ans après la fin de la première guerre celto-teutonne, où ces derniers la remportèrent, les teutons envoyèrent une flotte et une armée de plus de dix-milles hommes, récupérer cette terre qu'ils la considéraient comme la leur. Elle débarqua sur la cte de Tórshavn, en printemps 973, où le peu d'hommes d'armes norrois présent furent vaincus. Ils prirent rapidement les régions côtières. D'abords inférieurs en nombre, bien moins équipés et armés, les forces armées nationales furent défait à la bataille d'Ægenholm, le 23 octobre de la même année.
Les teutons prirent la route de Þingvellír, dernière ville résistante au joug de leur empire. Située au centre du pays, dans le Miðhálendið ou hautes-terres norroise, ils furent pris par l'hiver. Peu habitué à un aussi rude climat, dans une région atteignant parfois de -20° à -30°, les arm?es teutonnes eurent de lourdes pertes. Les norrois obtinrent leur premi?re victoire face aux teutons survivants. On estime qu?ils perdirent plus de sept-milles hommes.
Par la suite, des révoltes éclatèrent dans les principales cités norroises, à commencer par Ægenholm, ou le grand-général teuton fut décapité par les rebelles le 7 février 977. Leurs derniers soldats se retirèrent fin mars.
III. L'émergence d'un royaume chrétien
___En 1411, le Royaume Norrois vit sur ses côtes, arriver un moine catholique, Henri von Albenßon. Venu christianiser l'île, il fut d'abord mal accueilli du fait de ses origines teutonnes, ennemis de jure des norrois. Il s'installa à Þingvellír, capitale et plus grande ville du pays, où il y battit une église ; il commença par la suite à soigner les populations, s'attirant ainsi la sympathie des citoyens de la cité.
Les premiers convertis appartinrent aux sphères bourgeoises et nobles, les paysans restant fidèle au paganisme nordique, apportè par les colons teutons il y a cinq siècles. Le 14 avril 1435, fut baptisé le haut-roi Ingárd áv Æðír, qui le lendemain établi le catholicisme comme religion d'état. Henri von Albenßon mourut deux ans plus tard, et fut enterré à l'abbaye de Saint-Henri, un lieu isolé, au sommet du mont Hrróþgárd, où réside toujours sa dépouille ; y vivent toujours des hommes de foi, cherchant la prière dans le froid et la solitude et dans un idéal de pauvreté. Après la mort d'áv Æðír en 1448, les nobles de l'Álþing se réunirent le 17 juillet de la même année, et votèrent la succession de sang en faveur de Hadvard II áv Norðland, descendant direct de l'actuel haut-roi, Christian II áv Norðland Cet événement renforça considérablement le pouvoir royal, affaibli jusqu'alors.
L'ancienne religion subsistera encore deux siècles, avant de s'éteindre définitivement à la fin du XVIIe. On en retrouve néanmoins quelques traces dans les rites catholique suivants ce siècle, et même jusqu'à aujourd'hui ; en effet, le paradis se traduit en norrois sovngárde, ou l'endroit dans le paganisme nordique où allaient les âmes ayant menées une vie d'honneur en leurs vies terrestres.
IV. Les premières difficultées
___À l'aube du XVIe siècle, de fortes activités volcaniques et sismiques causèrent de mauvaises récoltes et entraînant d'importantes famines. Couplé à des raids pirates toujours de plus en plus nombreux – dont les archives d'Eskensee révélèrent plus tard que l'Empire Teuton, rivaux des norrois, les soutenait – le haut-roi Snorrí áv Norðland, ainsi que son fils et successeur Árþjórn, furent confronté à de nombreuses révoltes populaires.
De plus, la majorité des richesses résidaient dans la main des quelques plus puissantes familles norroises.
L'arrivée de nombreuses épidémie, la peste entre 1482 et 1486 puis le choléra entre 1489 et 1497, attisèrent la colère du peuple sur leurs seigneuries, jugeant le haut-roi, les thanes et autres seigneurs, responsables de la colère des dieux. Ces événements provoquèrent un fort ressentiment envers la noblesse dans le siècle ; en effet, les paysans qui représentaient 80% de la société moyen-âgeuse restait attachés aux dogmes paganisme alors que ces premiers s'étaient convertis au catholicisme il y avait près d'une demie siècle, creusant ainsi un fossé toujours plus profond entre les deux ordres. Après plus d'un siècle de crise, la fin des pénuries de vivres et des maladies apaisèrent ces tensions, bien que le XVIe siècle fut synonyme dans l'histoire norroise de la mort de plus de cent milles personnes.
V. Invasion des É.-U. de l'Ouest Volcanien
___Situé au nord du Royaume norrois, les celtes, puis les É.-U. de l'Ouest Volcanien ayant récemment acquis leur indépendance dans la deuxième partie du XIXe siècle, ont longtemps convoités et considérés cette terre comme la leur.
En juin 1861, ils déclarèrent la guerre aux norrois, en envahirent le territoire. Rapidement dominés, les forces armées norroises sont défaites. Le 7 juillet, après moins d'un mois de combat, le haut-roi, Hendrík áv Norðland, fut forcé de se soumettre, en signant le traité de Þule.
« Art.1 du Traité de Þule
L'île de Þule, ou île de Thule, dans sa dénomination celte désormais en vigueur, deviendra à dater du 7 juillet de l'an 1861, une terre et une province légitime des États-Unis de l'Ouest Volcanien.
Art. 2
Le peuple norrois, homme, femme et enfant, se soumettront non pas à la voix de leur roi désormais déchu, mais au président et chef d'état ouest-volcanien.
Art. 5
L'Álþing sera dissoute, la seule assemblée étant celle peuple des États-Unis de l'Ouest Volcanien, siégeant à Westfield.
Art. 11
Le catholicisme ne sera plus la foi officielle, le protestantisme luthérien, celte et réformé deviendra la seule religion tolérée. »
De là, commença l'occupation. Deux mois plus tard, des résistants s'organisèrent, perpétrant des attentats sur les organismes ouest-volcaniens présents sur l'île. Le 4 décembre 1861, les membres du norðnaþíonálfriæn ou front national norrois se soulevèrent à Ægenholm, puis à Súlsnasker. Pendant plus de quatre ans, le royaume fut déchiré entre rebelles et militaires ouest-volcaniens. Les villes du sud furent reprises par le F.N.N. dés la fin d'automne 1862. Les forces armées des É.-U. de l'Ouest Volcanien se replièrent alors dans les principales villes de Skhellidge, d'Örkney, de Kristiansund et de Tórshavn. Cette dernière, aux frontière des rebelles, tomba dans leurs mains le 17 janvier 1863, lors de l'une des batailles les plus importantes du conflit, qui se solda par de lourdes pertes ouest-volcaniennes.
Le 9 mars 1865, le président lui-même, ainsi que les principaux représentants du front national norrois se rencontrèrent à Skhellidge, apràs une large victoire de ces derniers, et rompirent le traité de Þule, imposé presque une demi-décennie plus tôt.
Revenu au pouvoir, le haut-roi rétablit l'Álþing, et abolit les derniers privilèges du clergé et de la noblesse vis-à-vis du tiers-état. Le 14 avril 1865, le Royaume norrois adopta un texte démocratique, mettant ainsi fin à l'ancien régime, et entamant les débuts d'un pouvoir royal constitutionnel.
VI. La Grande Guerre
[à venir]
VII. L'époque moderne
___Après la fin de la Grande Guerre Gécéenne, qui déchira le monde pendant plus d'une décennie et se soldera par la création de la R.F.G.C. au début de la deuxième moitié du XXe siècle, le Royaume Norrois jusqu'alors l'un des territoire les plus pauvres du continent volcanien, vécut une période de développement économique et social sans pareil, lancé sous le gouvernement d'Árri Sínðægurssón (1956-1968).
Les norrois furent pionniers dans la géothermie ; parmi eux, Christopher Árnþjörn ainsi que Dággeir áv Eýmundúr, cntribuèrent à la création des premières centrales, assurant ainsi une indépendance énergétique dès la fin des années 1970.
Au grand étonnement, alors que la scène politique était le plus souvent occupée par le parti chrétien, l'arrivée des sociaux-démocrates au pouvoir, sous Gustav Hjálmgeir (1968-1974) plongea le pays dans de nombreuses réformes, qui aboutirent en exemple à la construction de nombreuses cités dans les quartiers défavorisés d'Örkney entre 1970 et 1975 ; lourdement critiqué, il fut remplacé lors des élection de 1974 par Jónas Línberg (1974-1986) du parti chrétien, qui contre toute attente, continua les réformes d'Hjálmgeir, et créa une sécurité sociale en 1977, sur les écrits de son prédécesseur. Réélu en 1980. il fut confronté aux premiers ralentissement de la croissance, qui lui vaudra sa place en 1986.
Du partie social-démocrate, Márri Ölðær (1986-2004) fut la première femme dirigeante du Royaume Norrois ainsi que du continent ; brillante diplomate ayant fait ses études au Queensland, elle permit après plus d'un siècle, le dégel des relations avec les États-Unis de l'Ouest Volcanien.
Populaire, charismatique, excellente oratrice et appréciée de ces concitoyens, Ölðær fut réélue jusqu'à sa limite de mandat, c'est à dire trois fois. Elle se retira ensuite de la vie politique.
Se succéda ensuite Siggúr Þjórðæn (2004-2010) du parti chrétien, qui fut caractérisé par le défi de la diversité économique, le pays étant fortement dépendant des cours du poisson, principale exportation du Royaume Norrois. Ses travaux furent repris par le social-démocrate Stefjen Álstandt (2004-?) actuel tributaire du titre, qui lança en 2012 la construction de plusieurs mines d'aluminium dans le centre du pays, en partenariat avec deux entreprises étrangères, SanatCo et Alier, respectivement queenslandaise et polarienne.
Le Royaume Norrois intégra en outre durant l'année 2015 plusieurs coopérations internationales, à cité comme OverGreen ou l'Organisation Mondiale de la Paix.
ᚻᛖᚱᚪ ᚩᚷ ᚻᛇᚢᚾᛞᚢᚱ ᚾᚩᚱᛋᛣᚪ ᛫ ᛚᚳᛝᚹᛖᛚᛞᛁᛋᛁᚾᛋ ᛡ ᛏᚹᛟ᛫ ᚦᛢᛋᚢᚾᛞ ᚩᚷ ᚠᛁᛗᛏᚫᚾ ᛫ ᚠᚱᛖᛚᛋᛁ ᛖᛝᚪ ᛞᚪᚢᛝᚪ ᛫ ᚹᛁᛝ ᛋᚫᚢᛗ ᛖᛣᛁ
- ShibuyaErudit Tokyoïte
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Re: République norroise, Dim 10 Jan 2016, 18:27
Ouf c'est vraiment une belle présentation ,complète et très bien imagée en carte
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