Ville-monde, Caprica abrite une communauté russe, originairement formée de 'russes blancs', selon l'expression consacrée pour qualifier les russes monarchistes exilés suite à la révolution et à la guerre civile au début du siècle passé.

Les descendants de cette population sont encore majoritaires dans la partie historique du quartier, alors que c'est une émigration nouvelle qui domine dans le nouveau quartier d'affaires.

Centre névralgique du quartier, cette place regroupe, au milieu de bâtiments d'inspiration russe, trois édifices religieux:

• la Basilique Saint-Alexandre-Nevsky, bâtiment le plus ancien, qui est rattachée à l'Archevêché des Églises orthodoxes russes en Occident (Exarchat russe)

• l'église Vladimir, érigée au milieu d'un étang où les habitants de Caprica aiment à venir faire du canotage

• la Cathédrale Saint-Basile-le-Bienheureux, réplique de l'édifice moscovite de même nom, dont la construction fut financée par de très nombreux citoyens d'origine russe dans le cadre d'une souscription nationale

Celui-ci constitue la frontière entre le vieux quartier russe et le nouveau centre d'affaires..

Après la chute du mur, des relations commerciales ont très vite été établies par des entrepreneurs russes résidant à Caprica, qui a rapidement hébergé un centre d'affaires de premier ordre tourné vers Moscou, où domine la Mercury City Tower de l'oligarque Ezekh

Le Quai-Promenade, où les habitants de Caprica viennent admirer les yachts des milliardaires russes: