Démographie de l'agglomération: L'agglo a dépassé les 1 million d'habitant et elle en compte actuellement 1 047 404. La tendance démographique n'est plus exponentielle mais linéaire et va sans doute évoluée vers une forme logarithmique. Concernant la répartition, elle reste inchangée presque. On note une évolution des employés au détriment des manager.

Santa Lucia : Aujourd'hui cap de l'autre coté de l'agglomération et de la ria. Il ne s'agit de LS mais de Santa Lucia. Avec 345 989 habitant elle est pour le moment la seconde commune de l'agglomération de LS. Ici la stylistique urbaine est littéralement différente. À la différence de LS, Santa Lucia n'est pas parsemée de monuments classés. Par conséquent, la contrainte architecturale y est moindre et l'anarchie urbaine est de mise. Le tourisme et le dynamisme de la commune en sont les principaux responsable !

La Ville comprend de vaste zone résidentielles consacrées aux populations aisées.








La Tour Oniris (au fond à gauche) : Cette puissante firme spécialisée dans a biologie et le pharmaceutique s'est installée loin du CBD de LS pour réaliser des économie non négligeables en matière de taxe et de valeur du terrain. Cette firme à investit de nombreux milliards dans le projet de requalification du complexe. Les sommes versée contribuèrent à l'édification du CHU et du Campus Médecine - Pharmacie.


Le Complexe Olympique: Triste histoire que celle du complexe olympique. En 1991, alors que les chantiers avaient été entamés, le gouvernement nationaliste, en commun accord avec le CIO, décida de transférer les JO à Neuropolis. Ces derniers coinsidait avec l'inauguration de la nouvelles capitale dont le coût et le gigantisme était source d'une politique virulente. Dans cette occasion en or, bon nombres de politique voyait un moyen de légitimer de glorifier la nouvelle capitale. Pour LS ce manoeuvrage politico - médiatique fut un désastre. Endetter les médiocres indemnités gouvernementales de dédommagement ne suffirent. Chaque demande d'aide supplémentaire était refusée par les politiques dont le refrain favori était :

« Il n'y à plus d'argent, nous avons de nombreux emprunt en court ... » En 1997 de violentes manifestations Antineuropolitaine éclatèrent lors d'une rencontre sportives.

Le complexe inachevé tomba à l'abandon et Santa Lucia se développa lentement autour de la zone dite de la honte .

En 2004, avec l'arrivé de Vargas à la tête du conseille de l'agglomération, un plan de réinvestissement et requalification du complexe fut lancé dans le but créer un vaste complexe dédié à l'avenir.

Au niveau de Sant Lucia, cela induit un boom de l'urbanisme conséquent.



Guadalpobre : De l'autre coté de l'autoroute c'est un tout autre décor qui s'impose. Usines, tours HLM, bienvenue dans un ghetto, celui de Guadalpobre. La population y est pauvre et vit dans la promiscuité avec les industries qui sont également leur lieu de travail. La leader de l'opposition accuse par ailleurs le conseille de l'agglomération de favoriser cet entassement via une politique de valeur du terrain défavorable du coté de Santa Lucia et plus généralement inappropriée à la situation désastreuse en terme de fracture et d'inégalités.



Le Bord de Mer : Le Visage du tourisme de masse. Les plages de sable fin et la garrigue ont laissé place au béton et aux tours peuplées d'appartements pour les élites, et les classes moyennes. Actuellement, on revient peu à peu de cette folie urbanistique. Une seule certitude : Les limites sont atteintes la zone du volcan étant protégée, il y est interdit de construire.



Logistique: LS et Santa Lucia sont reliés par l'autoroute. Actuellement on déplore la caractère unique de cette voie d'accès. Des projets de ponts et de tunnels sont à l'étude.


Photo prise par un amateur lors du black out de 94

La prochaine maj sera dédiée au CBD de LS dont on peut voir la vue en contre jour ici.