Excellent travail, Gandalf.

"Il faut savoir qu'à l'époque, le Sunrise est un pays pro-capitaliste qui rêve de s'enrichir avec l'argent de ses voisins." Pourquoi à l'époque, depuis le Sunrise est devenu communiste ?  Et pour ton "rêve" sunrisien j'espère que c'est pas vers le Polaro que tu regardes sinon ça va mal se passer  


"En 1796 Edward Stampton (...) décide de mettre au point un système de véhicule (...) avec une mécanique inspirée des futurs premiers véhicules qui verront le jour vers la fin du XIXème siècle." Comment il a pu mettre au point un système inspiré par quelque chose qui a été inventé un siècle plus tard ?  



Juste, "Bayar transmotion" c'est la même entreprise que Transmotion actuellement ?  

Myname a écrit:"Il faut savoir qu'à l'époque, le Sunrise est un pays pro-capitaliste qui rêve de s'enrichir avec l'argent de ses voisins." Pourquoi à l'époque, depuis le Sunrise est devenu communiste ?  Et pour ton "rêve" sunrisien j'espère que c'est pas vers le Polaro que tu regardes sinon ça va mal se passer  

Il n'est pas communiste, tout cela pour dire qu'à l'époque, c'était déjà un pays capitaliste

Myname a écrit:"En 1796 Edward Stampton (...) décide de mettre au point un système de véhicule (...) avec une mécanique inspirée des futurs premiers véhicules qui verront le jour vers la fin du XIXème siècle." Comment il a pu mettre au point un système inspiré par quelque chose qui a été inventé un siècle plus tard ?  

Il est vrai que l'adjectif employé n'est peut-être pas assez adéquat. Je le modifierais. Mais tout cela pour dire que cette invention est en quelque sorte la grande soeur du moteur de voiture de demain.

Myname a écrit:Juste, "Bayar transmotion" c'est la même entreprise que Transmotion actuellement ?  

Non, car il y a "Bayar" dedans et si tu lis plus bas, l'ensemble des entreprises à l'époque ont été rachetées par l'état. Aujourd'hui, de nouvelles entreprises se partagent une petite partie du réseau ferroviaire mais la majorité reste à l'état.


Cette perche t'ai destinée effectivement

Un bien beau dossier ma foi

on est gendredi siore

je suis bouurai

tchou tchou

Plus qu'une semaine !

Attention, dernière journée !

• Les premières années
  

A la fin du 18ème siècle le Vasel en est aux prémices de son industrialisation. Profitant de vastes gisements de charbon dans les plaine du Haut-Leu et de métaux de la chaîne des Calypses, l'industrie  se développe sur les base d'une longue tradition de guilde. Profitant des avantages offert par ce grand fleuve qu'est le Leu ainsi que de la Rivière Evreuse le reliant au Lac intérieur Evre permettant le transport simple et efficace des marchandises vers Saint-Martin en Leu et le Port marchand de Maris Cantii. Malgré cette situation le transport entre les mines et le fleuve pouvait être problématique .

Ainsi dans la mine de Lenoir et compagnie, le long de la côte nord du lac Evre à près de 4 kilomètres du port et de la ville de Piedmont, utilisait un système de train hippomobile pour transférer sa production vers le port. Malgré tout cela le charbon était extrait plus rapidement qu'il ne pouvait être exporté. Le directeur de l'usine chercha une solution, celle ci fut soufflé par l'un des ingénieur qui avait vu les première machine à vapeur créée dans le Bosphoros .

C'est l'ingénieur des mines, Bertrand Gorald, qui sur ordre du directeur imagina un système utilisant des wagons de mine guidés sur des rail en fonte et tracter par des machine à vapeur fixe . Ce système se révéla rapidement lui aussi limité. En désespoir de son propriétaire, Paul Lenoir décida de lancer un concours international d'inventeur pour résoudre son problème.

Le but était de pouvoir tracter 30 wagons de charbon sur les 5 kilomètres qui séparaient la mine au port de Piedmont Le concours fut organisé le 26 Août 1822, presque toutes les solution utilisaient des machine à vapeur fixe, seul la solution de l'ingénieur Sunrisien Wallace Brunich et l'inventeur Vaselois Aurelien Duchamp était radicalement différente. Reprenant des travaux antérieurs sur les véhicule automoteur à vapeur de la fin du 17ème siècle, le précédent projet était constitué d'une d'une chaudière à vapeur monté sur roue dentée actionnant cette dernière. Le tout posé sur des rails de fonte.

                              Aurelien Duchamp, inventeur Vaselois                                                       Wallace Brunich, Ingénieur Sunrisien

Rapidement, la proposition du couple Sunrisien Vaselois fut la seule solution viable, Paul Lenoir n'attendra pas la fin du concours pour lancer les travaux.  Ainsi l'année suivante les quatre locomotives qui seront surnommé les fumeuses de Lenoir transportaient 2800 tonnes de charbon

Malgré ce premier succès le chemin de fer resta cantonné aux mines de charbon, mais le développement d'une autre invention provoquerait son adoption partout dans le monde .

• La naissance de la locomotive moderne .
  

À Saint-Martin en Leu, le 6 septembre 1849, la première coulée d'acier utilisant le convertisseur de Bressmer sortait des haut fourneaux de la toute nouvelle aciérie de la jeune société FANA, très rapidement l'usine rencontra deux problème important :  Le manque de mains d’œuvre disponible et la difficulté croissante pour exporter les commandes de plus en plus nombreuses.

La solution viendra encore une fois du couple Brunich et Duchamp, qui aux fils des années perfectionnèrent leur machine. La roue denté a disparue au profit d'un système de bielle relié à une des roues .




Mais surtout l'acier bressmer permit la création de rail capable de supporter des trains bien plus lourds et rapides tout en étant économique. Chose impossible avec les anciens rails en fonte qui étaient fragiles et les rails en fer pulder trop cher, de plus la chaudière pouvait supporter une plus grande pression, coupler avec la découverte des premiers principes de la thermodynamique par l'ingénieur Polarien Alexandre Faberger qui augmentent sensiblement la puissance des locomotives.



Ceux ci proposèrent en premier lieu une ligne reliant la petite ville de Champfleury et son aciérie au centre de Saint-Martin en Leu, plus précisément dans le quartier des Bouchers. Cette première longue ligne de 10 kilomètres proposait des défis important: les rails, la signalisation, les gares.  Les travaux de terrassement furent réalisés sous les ordres du géomètre royale Théodule De Montobant qui développa une méthode et des outils de construction qui préfigurent le travail à la chaîne qui arrivera presque 1 siècle plus tard.




Le terrassement était effectué en tête de ligne, puis les ouvriers posaient les rails en chaîne grâce à des gabarits préétablies puis en ancrant le rail avec un système de crampons. Grâce à cette méthode de construction, le tracé fut réalisé en seulement 8 mois. La traversé de la rivière Evreuse fut réaliser par l'adaptation du pont des Maréchaux. C’est ainsi que le 19 mars 1850,  la ligne est inaugurée et fut immédiatement une réussite commerciale . Dans la foulée, l'idée d'une ligne reliant Saint-Martin à Maris Cantii prend forme, les travaux préliminaires débutent rapidement. Cela provoquera la première grande fièvre du Rail, en l'espace de 10 ans plus de 3000 kilomètres de rails et 8 compagnies de chemin de fer apparaissent. Cela contribue à l'expansion de l'industrie Sidérurgique naissante, développe rapidement le commerce inter royaume, et contribue à l’émergence de l'identité Vaseloise telle que nous la connaissons. La technologie s'exporte très rapidement au reste du Monde, du Polaro à l'empire Deltan, ou encore en passant par le Sunrise,  le monde entier se couvre rapidement d'un long ruban d'acier.

• La difficile reconversion .
  

Au début du 20ème siècle, le réseau Vaselois était fort de 26 000 kilomètres de lignes et 4 compagnies dirigeaient le réseau: la compagnie du Nord, la compagnie du Leu, la compagnie des wagon et bar et enfin la Clamato et fils . Le rail assure 60% du transport de passager et 55% des marchandises. La puissance des locomotives augmentent continuellement et à l'aube des année 30 de puissante locomotive les série 156 de la Compagnie des wagon et bar relie Saint-Martin à Maris Cantii en à peine 4 heures et les série 141 tractaient des trains de marchandise de plus de 2 000 tonnes.



Dans le même moment, la compagnie du Leu développe, depuis les années 1910 la technologie des trains électriques profitant de la chaîne des montagne de Calyspes pour créer des barrages hydroélectrique. Se basant sur la technologie des moteurs à courant continu développé sur les travaux du physicien Haradien Alberto Foradosi, elle donne naissance aux motorbox qui devaient surtout tracter les lourds trains de minerais et de charbon vers Saint Martin .



Mais tout changea dans les années 1950, l'arrivée des premier avions à réaction et surtout l'automobile personnelle provoque une chute importante du transport ferroviaire de passager, dans ce même temps, le développement du réseau autoroutier permet au transport routier de devenir le premier concurrent du rail sur les marchandises rognant même les parts du transport fluviale. Seul le transport de minerais résiste à cette lente érosion .

De plus, les compagnies n'avaient pas anticiper le choc de la rationalisation et de la banalisation provoquées par les locomotive diesel et électrique. Seul la Compagnie du Leu avec ces 6000 kilomètres de voies électrifiées en 1500 V CC et ses locomotive type fer à cheval et motorbox avaient franchis le pas. Au contraire de sa grande rivale la Compagnie des Wagon et Bar qui utilisait toujours la traction vapeur

La situation était chaotique . Si bien que le 26 Septembre 1953 le gouvernement de Charles Desaint décida avec l'accord du parlement et du roi de nationaliser toutes les compagnies ferroviaires de Vasel, sous le forme de l’Office national des chemins de fer . L’entreprise nationale entame la reconversion des lignes et des machines. Dans les années 1970, les ingénieurs de Samar travaillent avec la société Polariene Transmotion dans le développement de ce qui deviendra le futur train à grande vitesse Polarien le PTX et sa déclinaison Vaseloise le TGV.