Superbe article, j'aime beaucoup la mise en page et la police choisie

En ce qui concerne le contenu c'est très bien résumé et l'ajout des squits est un plus non négligeable bravo !

c'est écrit un peu petit, mais sinon, tres bon article

Superbe article.

locko a écrit:Tu me facilites pas la tâche pour l'obs des médias là
Sinon c'est un excellent article

Lymoce a écrit:Superbe article, j'aime beaucoup la mise en page et la police choisie

En ce qui concerne le contenu c'est très bien résumé et l'ajout des squits est un plus non négligeable bravo !

seizheurdumat a écrit:Superbe article.

Merci pour vos commentaires !

Gandalf a écrit:c'est écrit un peu petit, mais sinon, tres bon article

J'ai agrandi la police du texte, à toi de me dire si c'est mieux ainsi. Merci en tout cas

Ah! C'est beaucoup mieux, merci de penser à mon grand âge

c'est un excellent article qui permet de bien ce tenir au courant ! super boulot comme d'hab

Gandalf a écrit:Ah! C'est beaucoup mieux, merci de penser à mon grand âge

Je vais t'acheter une loupe

Ouam a écrit:c'est un excellent article qui permet de bien ce tenir au courant ! super boulot comme d'hab

Merci Ouam

Mandelsy, l’exode silencieux
The Belton Post | 23.09.2017 à 12h49
Par la rédaction The Belton Post

C’est une catastrophe humanitaire qui se joue depuis plusieurs mois en Océania, où la crise Mandelsienne sévit depuis maintenant plus de six mois dans l’indifférence la plus totale. Crise silencieuse, morts par milliers, le pays océanien connaît sa plus grande crise depuis l’indépendance autoproclamée du Royaume de Faimy en novembre 2016 ayant ébranlé le petit monde politique.

À Valaxtine sur Choisille, le silence de la diplomatie se fait pesant. Le Président Karl Silver Stone s’est retiré depuis décembre 2016, date à laquelle il déclara la guerre à Arrabal. La Mandelsy n’a pas terminé sa guerre et la population locale continue de quitter les campagnes.

Fuir la misère est la principale raison de l’exode de la population mandelsienne. Dans les villes, peu nombreux sont les paysans trouvant un abri, même fait de tôles. Beaucoup décident de poursuivre leur route, toujours vers l’Ouest et les richesses des îles. Peacksburg, Crosovie et Dunvegan sont les principales destinations visées par la population en quête d’un meilleur avenir.

A Theide, dans la Province d’Apartagne, le flux d’immigrés est incessant. La population, oubliée par ses dirigeants, est livrée à elle même. En avril 2017 furent construits deux camps d’hébergement aux portes de la ville, financés par le Peacksburg. Ces deux camps, rapidement saturés, ne répondent pas à la demande croissante. De nouveaux camps pourraient être prochainement construits pour absorber les flux de réfugiés, sans pour autant résoudre le problème de cet exode rural massif que la Mandelsy ne parvient pas à stopper.

Le pays n’offrant pas de perspective d’un avenir meilleur, nombreux sont les mandelsiens à faire le choix de partir, vers les Communautés Autonomes de Crosovie et du Dunvegan dans un premier temps, vers le Peacksburg ensuite. À Punta de Mazaltàn, la marine Mandelsienne surveille ses eaux territoriales et stoppe tout navire clandestin s’essayant à la traversée. Au Peacksburg, la marine patrouille dans un souci de surveillance des eaux territoriales. Les quelques navires en provenance de Mandelsy sont également surveillés pour éviter toute arrivée clandestine sur l’île d’Alohen. Plus que de la surveillance, ce sont aussi souvent des sauvetages qui sont réalisés. Les traversées clandestines se font généralement sur des bateaux flottant par miracle, peu d’entre eux réussissent l’exploit.

Le Peacksburg est face à une nouvelle problématique. Comment gérer ce nouvel afflux de mandelsien dans le pays ? À Saint-Louis, trois centres d’hébergement ont ouvert leurs portes aux réfugiés du continent. Aussi, un programme d’intégration a été mis en place pour faciliter l’installation de ces nouveaux arrivants dans la société Peacks. Cette intégration reste néanmoins facilités par l’importante population mandelsienne historiquement présente dans le pays. Cette situation reste cependant très controversée et conduit à des débats mouvementés au sein de la classe politique. Alfred Domoneon, Président du Parti Souverainiste, accuse le Président Galimon d’ouvrir les frontières du Peacksburg à la misère du monde. À l’inverse, Rokia Atheneyi, Présidente du Parti Tikal, reproche au gouvernement actuel de ne pas protéger les mandelsiens dans cette épreuve. Le Parti Conservateur, actuellement à la tête du pouvoir, assure avoir le contrôle de la situation, comme le confirme la Présidente du parti Malia Kaye.

La crise Mandelsienne est aujourd’hui aussi silencieuse que dangereuse pour la stabilité socio-économique de l’Océania. Le Président Galimon, très controversé depuis la signature du Pacte de Coopération Militaire avec la Confédération Insulaire d’Ancore, se retrouve au cœur d’un scandale national. Sans intervention rapide du gouvernement actuel, la crise pourrait rapidement toucher le Peacksburg et entraîner un soulèvement social.

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Dommage de voir la Mandelsy dans un tel état, au pire le Sunrise peut l'annexer, ça arrangera les choses

Bonne édition sinon.

Excellente édition, ça fait du bien d'avoir des nouvelles de la Mandelsy