Hine nui te po marae-Temple de la Grande Dame de la Nuit

Le Hine  nui te po marae ( temple de la Grande Dame de la nuit) est un édifice religieux océaniste situé prés de Waïkiki sur l'île de Tahaa dans la République populaire et démocratique de Mapete. Il rend hommage à une déesse appelée "la Grande Dame de la Nuit" (Hine Nui Te Po en Mapetien).

Selon les archéologues et les spécialistes de l'Histoire mapétienne dont James Dwakwenkwo , ce temple daterait du Moyen-âge et aurait au moins 800 ans, ce qui en fait le temple/ lieu de culte le plus ancien de Mapete et parmi les plus anciens du monde GC. Comme son nom l'indique, il a une fonction religieuse , il sert de lieu de prière et d'offrande à la Déesse de la Mort et de la Nuit qui règne dans les ténèbres et l'au delà. Si il y a une divinité à ne pas mettre en colère c'est celle-ci. Elle est craint par les Mapétiens et océanistes du monde entier. Il existe de nombreux temples ( appelés Marae) en son honneur. Les offrandes sont variées mais il s'agit très majoritairement d'offrandes animales et humaines lorsqu'il y a une condamnation à mort. (Mapete ayant garder l'offrande humaine pour les condamnés à mort: la cardiatomie).

Histoire de la Déesse de la Mort et de la Nuit: Hine Nui Te Po

Hine-nui-te-pō (la grande Dame de la Nuit) est la déesse de la nuit et de la mort dans la mythologie océaniste. Elle règne sur l'au-delà. C'est la fille de Tāne, qui fuit dans l'au-delà lorsqu'elle dut prendre conscience qu'elle était mariée à son père.

Tous les enfants de Rangi et Papa, les parents divins (le père Ciel et la mère Terre), étaient mâles. C'est Tāne qui le premier ressentit le besoin d'une femme. Sa mère lui montra comment il pouvait en former une à partir de terre rouge. C'est ainsi que Tāne insuffla la vie à Hine-ahuone, la femme-issue-de-la-terre, et il dormit avec elle. Leur enfant fut Hine-ata-uira, fille-du-couchant, et Tāne prit cette fille pour femme.

Un jour, alors que Tāne était parti, Hine-ata-uira se demanda qui était son père. Se rendant compte avec horreur que ce n'était autre que son époux, elle fuit vers l'au-delà. Tāne la suivit et voulut la convaincre de revenir. Mais Hine, alors devenue Hine-nui-te-pō, déesse de l'au-delà, lui dit : « Retourne d'où tu viens et élèves nos enfants. J'attendrai ici et les accueillerai. » Ainsi Tāne revint sur Terre et Hine resta dans l'au-delà, où elle attendit Māui, qui apporta la mortalité aux hommes et ouvrit la voie à l'infinie procession des mortels dans l'au-delà.

Māui essaya de rendre l'humanité immortelle en se faufilant entre les jambes de Hine-nui-te-pō endormie pour ressortir par la bouche. Mais à cette vue le rire d'un oiseau, réveilla Hine-nui-te-pō et Māui fut écrasé dans son vagin. Il fut ainsi le premier homme à mourir et les Hommes devint mortels.

Histoire de la Mythologie océaniste-Bibliothèque Nationale de Mapete

Descriptions des lieux

Tupuna tahua i raro

Tupuna tahua i raro (trad: lieu de réunion des Ancêtres) est une lieu sacré permettant à la déesse d'être plus clémente avec eux en voyant leur visage ou leur corps. Plus la statue est bien formée et plus les tatouages sont représentés dans celle-ci (pétroglyphes), plus la déesse est clémente. Celle-ci se base également sur le nombre de statues, plus elles sont grandes et nombreuses , plus la déesse sera reconnaissante. Si les statues ne suffisent pas, les tikis (totems) peuvent également faire l'affaire. Sur le site , il y a les deux: les statues et les tikis. Le lieu de réunion fut nommé ainsi car le nombre de statue est particulièrement important. La forme de cercle n'a pas vraiment de connotation particulière si ce n'est esthétique.

Hine nui te po marae

Le temple dédié à la déesse a été reconstitué selon les légendes Papus, il a fallu 30 ans pour pouvoir le construire quasiment à l'identique. Dans ce temple, de nombreux tikis ont été retrouvé représentant la déesse et d'autres dieux et héros mythologiques

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Vue générale

Ce lieu est considéré comme "patrimoine national" sur le plan national, comme un "complexe culturel" au niveau de l'OCGC.

Hine nui te po marae, page wiki