1939, le Riven est occupé par le Delta. La brume entour lentement les montagnes du Krestov et plonge ce qui semble être ce petit monde dans l'obscurité.
Artyom est un simple facteur, et traverse ces monts, qui sont seulement peuplé par des ruines, vestiges de la courte mais sanglante résistance Rivennoise à l'envahisseur. Mais le voilà à genoux devant sa propre tombe, et en face, un homme qui bientôt appuie sur la détente de son revolver.

Il est mort

Lui qui n'avait pourtant jamais fait que son métier se retrouve abattu loin de sa famille, et même loin de la guerre qui déchire pourtant le monde.

Mars 1945, les forces allié anti fasciste avancent dans le Riven occupé et mènent de lourds combat contre le Delta.

Artyom, comme s'il n'avait fermé les yeux qu'une seconde se réveil. Déboussolé, il se retrouve malgré lui engagé dans des troupes de résistants Voesbienne.
Mais ce n'est que le début, car une fois sur le front, il aperçoit une jeune fille, au milieu du champs de bataille, complétement désintéressé des combats, qui peut savoir quels actions vont amener à la mort d'un Homme. Il va aussi découvrir que les oiseaux semblent êtres de biens meilleurs amis que ses camarades. Et évidement, il va pouvoir extirper de précieuses informations en parlant avec les cadavres de ses ennemis qui sont étonnamment bavard avec lui.

Maman, je suis mort est une odyssée sombre mais poignante d'un homme au cœur de plus grand conflit de l'humanité, tiraillé entre folie macabre et réalité brutal.