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- Geoff35340Membre Émérite
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Messages : 3426
Re: La question environnemental : sommes nous au dernier point avant le non retour ? , Mer 7 Jan 2015 - 20:14
Arki a raison, la question maintenant, est de savoir comment faire avec.. et surtout comment réduire le problème au maximum et aussi éviter une fonte des glaciers contenant du méthane emprisonné (en Sibérie il me semble par exemple) qui, une fois libéré, conduirait à un cercle vicieux du réchauffement. Rappel : le méthane est une gaz à effet de serre 23x plus puissant que le Co2
Cependant, on peut prendre en compte la variable suivante : l'épuisement des réserves de pétrole
Cet épuisement aura peut-être comme impact la baisse drastique des émissions de gaz à effets de serre
Et faut pas se faire d'illusion sur la conférence de Paris..
Cependant, on peut prendre en compte la variable suivante : l'épuisement des réserves de pétrole
Cet épuisement aura peut-être comme impact la baisse drastique des émissions de gaz à effets de serre
Et faut pas se faire d'illusion sur la conférence de Paris..
Re: La question environnemental : sommes nous au dernier point avant le non retour ? , Mer 7 Jan 2015 - 20:44
J'y crois plus moi au baisse des réserves de pétrole. Suffit devoir la baisse des prix du carburant. 20 centimes en moins en l'espaces de quelques mois (5 toute au plus), c'est énorme. Limite les compagnies pétrolières auraient du laisser le pétrole au prix d'avant, au moins, les gens commençaient à réfléchir à de nouveau moyens de se déplacer. On a même enregistré sur 2014 une hausse de la fréquentation des réseaux de transport en commun de 3,5%, c'est pas grand chose mes c'est déjà pas mal. Avec la baisse des carburant, je pense que certain vont reprendre la voiture qu'il avaient abandonné... c'est bien malheureux.
Tout ça à cause des Etats Unis qui de plus en plus produisent leur propre pétrole ... de schiste ! Bref à un moment, où on aurait pu éventuellement amorcer un changement de nos modes de transports, tout est fait pour le contrecarrer !
Bien sûr la voiture reste toujours plus cher que les transports en communs mais on va beaucoup plus vite avec une voiture. Un exemple personnel. Pour mon trajet domicile<=>fac, je prend 25-30 minutes en voiture et cela me coutait (l'an passé) 150 à 200 € d'essence par mois (aujourd'hui on enlève 15% soit a peut près 130 à 170€). Et je ne compte pas l'assurance, l'achat et l'entretient de la voiture (c'est pas moi qui payait ça ) . Disons pour arrondir 250€/mois et je pense que je suis loin de la vérité. Cette année mon abonnement de transports en commun me coûte 27,6€ soit 10 fois moins. Mais je met 1h30 pour me rendre à la Fac. C'est un choix, que doit-on favoriser ? Les transports en commun en faisant le sacrifice de consacrer 3h à se déplacer par jour au lieu de 50mins à 1h, ou l’hégémonie de l'automobile tout en sachant pertinemment que cela participe à la dégradation de notre milieu de vie et de notre portefeuille au passage.
J'ai fait le premier choix et j'aimerais que beaucoup d'autres le face ! Car oui, si les transports en communs sont plus empruntés, il y en aura plus et donc les trajets seront forcément plus directes. J'ai fait un petit calcul concernant mon exemple précédent. Il y a la possibilité de mettre en place une navette ferroviaire depuis chez moi. En 7-8 minutes je pourrait être à une gare relais (place Verdun pour ceux qui connaissent Tours), mettons 3 minutes pour marcher jusqu'à l'arrêt de bus ou tram et ensuite il faut 7 à 8 minutes pour aller jusqu'à la fac. Soit au pire un trajet de 20 minutes, allez comptons 5 minutes d'attente au pire du tram (ou bus) et on arrive au même temps qu'avec une voiture en dépensant 10 fois moins d'argent et avec 10 fois moins de stress et de dangers !
Tout ça à cause des Etats Unis qui de plus en plus produisent leur propre pétrole ... de schiste ! Bref à un moment, où on aurait pu éventuellement amorcer un changement de nos modes de transports, tout est fait pour le contrecarrer !
Bien sûr la voiture reste toujours plus cher que les transports en communs mais on va beaucoup plus vite avec une voiture. Un exemple personnel. Pour mon trajet domicile<=>fac, je prend 25-30 minutes en voiture et cela me coutait (l'an passé) 150 à 200 € d'essence par mois (aujourd'hui on enlève 15% soit a peut près 130 à 170€). Et je ne compte pas l'assurance, l'achat et l'entretient de la voiture (c'est pas moi qui payait ça ) . Disons pour arrondir 250€/mois et je pense que je suis loin de la vérité. Cette année mon abonnement de transports en commun me coûte 27,6€ soit 10 fois moins. Mais je met 1h30 pour me rendre à la Fac. C'est un choix, que doit-on favoriser ? Les transports en commun en faisant le sacrifice de consacrer 3h à se déplacer par jour au lieu de 50mins à 1h, ou l’hégémonie de l'automobile tout en sachant pertinemment que cela participe à la dégradation de notre milieu de vie et de notre portefeuille au passage.
J'ai fait le premier choix et j'aimerais que beaucoup d'autres le face ! Car oui, si les transports en communs sont plus empruntés, il y en aura plus et donc les trajets seront forcément plus directes. J'ai fait un petit calcul concernant mon exemple précédent. Il y a la possibilité de mettre en place une navette ferroviaire depuis chez moi. En 7-8 minutes je pourrait être à une gare relais (place Verdun pour ceux qui connaissent Tours), mettons 3 minutes pour marcher jusqu'à l'arrêt de bus ou tram et ensuite il faut 7 à 8 minutes pour aller jusqu'à la fac. Soit au pire un trajet de 20 minutes, allez comptons 5 minutes d'attente au pire du tram (ou bus) et on arrive au même temps qu'avec une voiture en dépensant 10 fois moins d'argent et avec 10 fois moins de stress et de dangers !
- banane1234Membre Émérite
- Aucun .
Messages : 5665
Re: La question environnemental : sommes nous au dernier point avant le non retour ? , Mer 7 Jan 2015 - 23:41
La planète est dans une ère de réchauffement, on a juste accéléré ce processus naturel, donc le niveau des mers aurait quand même augmenté et la chaleur dans la planète.
On doit juste donner le temps à l'humanité de faire une transition qui a déjà commencé dans les pays riches. On ne peut pas tout changer tout jour au lendemain, on aussi doit rendre les techniques verts qui sont extrêmement dispendieux et peu rentables pour les rendre peu chère et plus rentables et là les gens vont vraiment se tourner vers ces techniques et vers ces produits.
Concernant le transport on ne peut pas éliminer les voitures, on peut rendre les trajets en transport en commun plus rapide. Mais le problème est qu'avec ta voiture tu as une liberté d'aller à peu près partout. Et les villes ont été conçu (en Amérique et en Chine, Japon du moins) avec la voiture, le meilleur exemple Los Angeles qui fait 100 km du nord au sud des centaines de kilomètres d'autoroute qui desserve la ville. On ne peut pas faire un système ultra-complexe dans ce genre avec des métros ou des bus. au sinon vivent les centaines de milliards à investir. Il nous faut trouver une solution moins polluante en attendent que des voitures électriques soit rentable et peu chère.
On doit juste donner le temps à l'humanité de faire une transition qui a déjà commencé dans les pays riches. On ne peut pas tout changer tout jour au lendemain, on aussi doit rendre les techniques verts qui sont extrêmement dispendieux et peu rentables pour les rendre peu chère et plus rentables et là les gens vont vraiment se tourner vers ces techniques et vers ces produits.
Concernant le transport on ne peut pas éliminer les voitures, on peut rendre les trajets en transport en commun plus rapide. Mais le problème est qu'avec ta voiture tu as une liberté d'aller à peu près partout. Et les villes ont été conçu (en Amérique et en Chine, Japon du moins) avec la voiture, le meilleur exemple Los Angeles qui fait 100 km du nord au sud des centaines de kilomètres d'autoroute qui desserve la ville. On ne peut pas faire un système ultra-complexe dans ce genre avec des métros ou des bus. au sinon vivent les centaines de milliards à investir. Il nous faut trouver une solution moins polluante en attendent que des voitures électriques soit rentable et peu chère.
- ArkitheodorosMembre Émérite
- Aucun
Messages : 4201
Re: La question environnemental : sommes nous au dernier point avant le non retour ? , Ven 9 Jan 2015 - 21:18
banane1234 a écrit:La planète est dans une ère de réchauffement, on a juste accéléré ce processus naturel, donc le niveau des mers aurait quand même augmenté et la chaleur dans la planète.
On doit juste donner le temps à l'humanité de faire une transition qui a déjà commencé dans les pays riches. On ne peut pas tout changer tout jour au lendemain, on aussi doit rendre les techniques verts qui sont extrêmement dispendieux et peu rentables pour les rendre peu chère et plus rentables et là les gens vont vraiment se tourner vers ces techniques et vers ces produits.
Concernant le transport on ne peut pas éliminer les voitures, on peut rendre les trajets en transport en commun plus rapide. Mais le problème est qu'avec ta voiture tu as une liberté d'aller à peu près partout. Et les villes ont été conçu (en Amérique et en Chine, Japon du moins) avec la voiture, le meilleur exemple Los Angeles qui fait 100 km du nord au sud des centaines de kilomètres d'autoroute qui desserve la ville. On ne peut pas faire un système ultra-complexe dans ce genre avec des métros ou des bus. au sinon vivent les centaines de milliards à investir. Il nous faut trouver une solution moins polluante en attendent que des voitures électriques soit rentable et peu chère.
D'accord avec tes dires banane sauf pour la planète qui est entré dans un réchauffement cyclique naturel et que l'homme ne fait que l'accélérer; c' est nous qui réchauffons la planète depuis environ 300 ans, les chauffages pour les habitations et le tout pétrole dans beaucoup de secteurs industriels, miniers ou économiques sont les principaux accélérateurs du réchauffement bien avant les transports.
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