Aujourd’hui, des scientifiques de GNI , ont mis au point une solution convaincante . Ils ont mis au point une « nano-éponge ». C’est un genre de plastique très souple, élastique, qu’ils ont combiné avec des nanotubes de carbone,

Il rejette l’eau, mais absorberait correctement l’huile. Une fois l’huile absorbée, les nano-éponges peuvent être guidées à l’aide d’un aimant, car elles sont fortement magnétiques. Et puis, une fois tirées hors de l’eau, on peut soit les écraser pour en extraire l’huile, soit y mettre le feu! Dans ce cas, l’huile brûle et… la nano-éponge reste intacte, et peut-être réutilisée.

Comment ca marche ?

[img]http://www.topsante.com/var/topsante/storage/images/import-initial/infections-bacteriennes-des-nano-eponges-mangeuses-de-toxines/208095-1-fre-FR/Infections-bacteriennes-des-nano-eponges-mangeuses-de-toxines.jpg[img]

Voila à quoi ca ressemble


Mais bon , voila le but officiel de ce post : vous convaincre de la bonne chose qu'apporte la Nano-Technologie

Introduction

L’irruption de la technologie dans nos vies est présentée comme inéluctable. Et puis, cette technologie est parfaite. Ceux qui en souffrent, perdent les pédales ou en décèdent l’ont mal utilisée. L’utilisateur est donc responsable des mauvais usages qu’il peut faire de sa technologie , et celle-ci n’est jamais remise en cause pour ce qu’elle est. Bien que cette « pilule parfaite » appartient au domaine de la science-fiction, elle présuppose que l’homme puisse développer une technologie avec un contrôle absolu (dont l’unique fonction serait de décupler les capacités du cerveau), parvenant à pallier potentiellement (moyennant un usage approprié) tout effet secondaire ou toute conséquence indésirable.

Donc, si la technologie blesse, endommage ou détruit, c’est de la faute de cet homme, ce pêcheur impénitent qui n’a jamais eu la sagesse d’apprivoiser son potentiel infini. Les humains sont faibles, la technologie intangible. La suite logique, c’est une espèce de fable darwiniste où, finalement, l’impératif devient de s’adapter à la technologie ou périr. Seuls les membres les plus vigoureux, ou vifs intellectuellement, du troupeau humain peuvent prétendre accéder à ce pallier nouveau et supérieur de la longue histoire de l’évolution, laissant de marche forcée leurs congénères sur le carreau.

N’est-ce pas là une vision néo-libérale de l’être humain, dont la destinée est de subir les défaites existentielles, pour la majorité des faibles, au rebours de ces quelques happy few qui disposent du patrimoine génétique qui leur permet d’écraser la concurrence de leurs semblables? Dans le genre, on préfère de loin la potion magique dont s’empiffraient Astérix et ses voisins, du « petit village qui résiste encore et toujours à l’envahisseur », et qui permettait aux villageois déchaînés de mettre leur pâtée aux impérialistes.

« Un pour les gouverner tous » – La standardisation des nanotechnologies

Les nanotechnologies sont très difficiles à définir précisément au niveau réglementaire. La réglementation, elle, a besoin d’une définition unique et opérationnelle. Or, les nanotechnologies, par essence, sont une catégorie très vague, qui renvoie à une vaste diversité de réalités différentes. Ca va, par exemple, du nanomatériau (le fameux nanotube de carbone) aux composants de synthèse, en passant par différents types de textiles.

Bref, l’exercice de faire rentrer toutes ces réalités dans une boîte est périlleux. C’est pourtant ce que tente de faire GNI , Nexus ou Urbania.de pour tenter de définir la nomenclature et une terminologie propre aux nanotechnologies.

En quoi est-ce important? Selon que l’une définition ou l’autre est retenue, les nanotechnologies rentreront vraisemblablement dans une catégorie réglementaire spécifique. En effet, la Commission européenne s’appuie abondamment sur les processus de « normalisation », ou de « standardisation », pour mettre au point ses stratégies réglementaires. Donc, notre travail revêt une importance par l’influence qu’il est appelé à exercer sur la réglementation.

Chaque définition des « nanotechnologies » embarque avec elle des effets différents. Tout dépend des critères qu’on retient, sur le type de substance, les propriétés nouvelles ou la taille. Ainsi, chaque définition fait la part belle aux intérêts (notamment industriels) de certains, et ce forcément au détriment des autres.



Restaurations d’art et nanotechnologies

Un exemple de plus d’application récente issue des nanotechnologies: la restauration d’art. Un nouveau produit, breveté sous le nom de Nanorestore, permet d’injecter des nanoparticules de chaux dans des peintures murales, afin de les « consolider ». Cela permet donc d’éviter les dégradations futures, à en croire cet article. En ce sens, on peut donc parler de « conservation préventive » du patrimoine artistique.

Nous saluons une innovation technologique qui permet, en l’occurrence, de mieux préserver le patrimoine. Mais comme toujours également, nous soulignons que, tout efficace qu’il soit, ce produit n’a rien d’un miracle à lui seul.

D’abord, seules les oeuvres majeures du patrimoine ont, en général, les faveurs d’une restauration (sous quelque forme que ce soit). La raison en est que tous les procédés de restauration sont très coûteux. Pour ne rien simplifier, les oeuvres majeures d’une époque ne sont pas toujours celles de la veille, ni d’ailleurs du lendemain!

Et puis, la chaîne de la restauration d’art est longue et très complexe. On peut donc choisir d’affecter des moyens aux infrastructures (réserves décentes, matériel de conservation propice), aux projets d’ensemble ou à des restaurations singulières, à différents types de patrimoine, et même à différents types de restaurateurs.

Dans cette perspective, on comprend donc qu’un produit comme Nanorestore doit trouver à s’intégrer harmonieusement dans la chaîne de la restauration d’art. On comprend aussi que la mise en oeuvre de ce procédé (dont le coût n’est pas public) procède d’un choix des autorités qui ont en charge l’allocation des budgets de restauration / conservation préventive du patrimoine.



En espérant vous avoir fait changer d'avis

Non, cette technologie, quoique révolutionnaire est beaucoup trop dangereuse. Surtout en ces temps ou le terrorisme est omniprésent dans la vie des gens. Et comme nous vous l'avons dit, nous défendons l’itérée de nos compagnies pharmaceutiques.

Nouveau produit !



Le Morph est un concept de nanotechnologie commun, développé par Globex Nano Industries (GNI) et par Carbon et financé par Nexus
Le Dr Jean Rhanen, chef du laboratoire de GNI d'Ariarty (Riven) a commenté: «Nous espérons que cette combinaison de l'art et la science va présenter le potentiel des nanosciences à un public plus large. Les recherches que nous menons est fondamental pour ce que nous cherchons un moyen sûr et contrôlé de développer et d'utiliser de nouveaux matériaux ".
Le Professeur Mark Wel, vice-président de GNI a ajouté: «Développer le concept Morph avec Carbon nous a fourni avec un accent à la fois artistiquement inspiré, mais, plus important encore, établit l'ordre du jour de la technologie pour notre recherche en nanosciences commun qui stimulera notre collaboration ".

Morph est un produit de GNI montrant que les prochaines générations d’appareils mobiles seront étirables, flexibles et translucides, et pourront prendre une infinité de formes différentes.

Prix annoncé : 980€


Nous recherchons actuellement des partenaire pour étendre notre marché dans tout le monde GC

Attention à rester dans la réalité, car comme je l'ai déjà dis à SP43K, nous sommes en 2014 avec des technologies de 2014 ! Ce n'est pas car tu as trouvé des images que ça existe, sinon... 

T'inquiète , Hors RP , c'est pas encore sorti , mais Nokia l'annonce pour 2017   

Mais alors comment tu peux les vendre ?

Belle présentation et beau produit!

@Myname on peux les précommanders pour 2017 ça laisse un peu de temps ^^

Non , Myname , je veux dire hors RP

Beau produit!! Mais effectivement, restons avec les technologies de 2014.