- AlleinDame de Fer
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Madame Martha Gates
La dame de fer
a écrit un communiqué officiel au nom du pays Commonwealth of Vulcania :
MV-24 et CVS Vulcania
- Spoiler:
MV-24 et CVS Vulcania
Le MV-24 est un projet d’aéronef à décollage et atterrissage verticaux en rupture complète avec l’existant conçu par le réseau des laboratoire nationaux et développé depuis 1996 par le constructeur vulcanien Crynet Systems.
Lancé dans le cadre du programme Joint strike fighter établi entre 1993 et 1994 avec l'idée d'équiper du même appareil les trois composantes aériennes des forces armées vulcanienne (Air Force, Navy et Marine Corps), le MV-24 est le produit du financement et de la réalisation exclusive du Commonwealth of Vulcania. Cet aéronef devrait être produit à plus de 2 000 exemplaires et distribué principalement aux pays membre de l’Alliance de l’Est.
Le programme se divise en deux versions distinctes.
Le MV-24H Vulture est destiné à remplacer les divers hélicoptères d’attaque. Plus discret et capable de semer tout type d’hélicoptère traditionnel, il peut également servir de transport derrière les lignes ennemie : son sas arrière est prévu pour accueillir six soldats d’élite ainsi que leur équipement.
Ses caractéristiques de vol, sa puissance d’attaque ainsi que sa résistance surpassent de loin tout type d’hélicoptère d’attaque en service ou en cours développement. Il est extrêmement maniable et réactif tout en offrant une stabilité incomparable à celle d’un hélicoptère. Pour plus d’efficacité lors des combats les systèmes d’armement et de défense sont asservis par une intelligence artificielle.
Le MV-24T King Fisher est un aéronef destiné au transport lourd. Equipé de quatre gros réacteurs, il peut soulever un char d’assaut M5A2 de 65 tonnes et le transporter sur près de 100 km, puis revenir à son point d’attache afin de refaire le plein et charger un autre char.
*Note de la rédaction : pour rappel, les côtes nord de l’île de Thule se situent à moins d’une cinquantaine de kilomètre de la base militaire vulcanienne la plus proche.
Le programme de développement, qui ne prévoyait pas de séries de prototypes, a déjà accumulé un important retard (de 7 ans en 2014) par rapport au calendrier initial et un dépassement de budget estimé à 74 % au mois de juillet 2016. En 2018, onze ans après le vol en 2007 du premier exemplaire de série, 300 appareils ont été livrés. Cependant aucun n'est vraiment opérationnel, les tests opérationnels des MV-24 commenceront en octobre 2018 et ne devraient pas se finir avant fin 2019. Le constructeur reconnaît l'existence de nombreux problèmes techniques.
Les navires de classe Vulcania (anciennement LHA(R)) ont été spécialement conçu afin d’accueillir les MV-24. Ce sont des navires d'assaut amphibie (Landing Helicopter Assault selon la liste des codes des immatriculations des navires de la Navy), conçus pour déployer des forces terrestres sur des rives ennemies. Leur mise en service est prévue à partir de 2014.
A bord de ces navires il y aura des escadrons de MV-24 qui ont comme mission le transport de troupes et de l'équipement. Des Harriers II puis des F-36C Spectre seront également embarqués et se chargent de sécuriser l’espace aérien et d’éliminer les cibles prioritaires au sol. Les dimensions exceptionnelles de ces navires (déplacement de 65.000 tonnes, soit autant que les portes avions lourds de certains autres pays), leur permettent d’embarquer une vingtaine de chars d’assaut, leurs équipages ainsi que leurs équipements. Basés sur le CVN Makin Island (LHD-, actuellement en construction, ils remplacent les Landing Helicopter Assault (LHA) de classe Tarawa.
Le CVS Vulcania (LHA-6) est mis sur cale en juillet 2009. Baptisé le 20 octobre 2012, il doit entrer en service en 2014. Le coût de ce premier bâtiment est annoncé à 3,4 milliards de livres vulcaniennes.
Le deuxième navire de cette classe, le CVS Tripoli (LHA-7) est mis sur cale le 20 juin 2014. Il devrait entrer en service en 2018.
Ministère de la guerre
21 Aout 2018
- OuamMembre Émérite
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Bonjour, le comité politique a terminé la carte de vos relations internationales.
José San Garcia
S'il y a des modifications à faire, c'est possible !
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