Le 20 janvier est un jour historique pour le continent Aldesien, en effet ce sont plus de 300 000 personnes qui ont manifesté en Euromed: sous le nom de "Front du Peuple". Ce "front" regroupe les socialistes, les socialistes, les communistes, les écologistes et les libéraux. Toutes ces organisations s'insurgent face aux conservateurs du Général Dayeb qui ont pris illégitimement le pouvoir en 2012 alors que l'armée devait simplement mettre en place un gouvernement de transition, suite à la démission du président socialiste (FSE) Rayan Algodon à la suite d'un scandale de corruption touchant l'ensemble de la classe politique du pays.

Depuis son accession au pouvoir les conservateurs n'ont cessé de restreindre les libertés, en abolissant la presse libre, l'avortement, en pénalisant l'homosexualité, en muselant leurs opposants ils ont également isolé le pays en s'attirant les foudres de la Philicie et d'une grande partie du monde, puis ont initié une politique de réarmement. En ignorant complètement la question sociale alors que la pauvreté explosait, sous le coup des sanctions et des décisions économique du pouvoir, l'euromed était assis sur une véritable poudrière prête à exploser à n'importe quel moment, comme cela se produit aujourd'hui.

La répression organisée par le pouvoir semble impuissante face à la détermination et l'exaspération des euromédiens, en effet les multiples arrestations dans la ville de Tingis par les autorités ne font que décupler la colère populaire, ni le couvre-feu décrété par le pouvoir central ni le déploiement de l'armée à Mesra ne semblent décourager les euromédiens sur la voie de la démocratie et des libertés. Ainsi la région à tradition libérale de la tingitaine a tout bonnement choisi de ne plus écouter les ordres de Mesra, les pro-gays les pro-avortements et les journalistes autrefois réprimés peuvent à nouveau s'exprimer et faire entendre leur voix au milieu des manifestations.

Mesra semble rester le dernier bastion encore sous le contrôle du pouvoir, les villes de Tetuan, de Muscat et d'Al Alama se soulevant elles aussi contre le général Dayeb. Mais cette situation durera t-elle? Mesra la ville lumière de la péninsule s'est éteinte sous l'oppression de l'armée, et ses habitants ne supportent plus le joug militaire du régime. Partout le régime craque et explose, la population se libère lentement mais sûrement du régime autoritaire institué en 2012.

On pourrait penser que seul l'Euromed est dans cette situation, mais au contraire l'Aldesyl tout entier explose. En Eastasia, les aldericains à force de résistance se libèrent progressivement du régime ultra-totalitaire et absolument inhumain qui les opprimaient depuis 1 an. La Sylvania implose également sous le poid des divergences régionales, les régions anglophones et francophones se divisent sur leurs différences culturelles après la mort du roi Clamato II et l'impossibilité de lui trouver un successeur alors que celui-ci assurait auparavant l'unité d'un pays divisé culturellement et linguistiquement.

En somme c'est tout un continent qui se réveille soudain, et comme l'a si bien dis Mme Kent: "Nous espèrons de tout coeur que 2015 soit une année de démocratie et de liberté".

Le Bloc créée la polémique:


La situation en Euromed a créée de nombreuses réactions dans la classe politique dont les plus "violentes" viennent des nationalistes du Bloc National: "Dayeb fait bien de tuer son peuple, comme ça nous n'aurons plus à gérer l'immigration massive des arabes dans nos pays.". Ces propos ont fait bondir l'ensemble de la classe politique (à l'exception de l'extrême droite). Dans la soirée Mme Kent a déclaré ces propos "inadmissible et qui appelle à la haine.". Les républicains (gauche) ont dénoncé eux une offense aux principes inhérents à la République et aux populations. le Parti National Goldcityien (conservateurs), dénonce lui un "appel à la division de la société et du monde, bien que la question de l'immigration doit être posée.".

Mais cette réaction a également réveillé le débat sur l'immigration, dans notre pays où les républicains mettent en place des programmes en faveur de l'immigration, considérant que la République a l'obligation de les accueillir. Les libéraux du PB, refusent de parler d'immigration et de mettre en place une politique sur ce domaine, considérant que chaque individu est libre de vivre où il veut dans le monde sans avoir à rendre de compte. Au contraire les conservateurs du PNG veulent eux contrôler l'immigration, considèrant les immigrés comme étant un péril pour la nation.



 

Mme Kent a présenté hier soir à la télévision son nouveau projet économique pour le pays. Alors que la croissance est au beau fixe, Mme Kent entend mener une politique de "consolidation économique" tout en respectant un strict excédent budgétaire. Ainsi hier soir Mme Kent a présenté 3 mesures phares de son plan.

La première consiste à la création d'un fond d'investissement de 500 millions de livres nordiques à disposition des PME et TPE qui permettrait de dynamiser encore davantage la création d'entreprise et d'emplois. Le fond devrait en priorité servir à financer les entreprises innovantes, qui embauchent et qui respectent l'environnement. Manon Kent à 20h10 hier soir: "Nous n'allons surement pas donner de l'argent à des entreprises qui détruiront la planète avec, nous l'investirons dans des entreprises responsables. "

Une deuxième mesure plus classique est une nouvelle réduction de l'imposition de 1% pour les entreprises de grande taille, 1,5% pour les PME-TPE et de 0,5% pour les ménages, Manon Kent entend: "libérer les forces vives de la nation".

La dernière mesure a été fortement critiqué par les Républicains (PR, Gauche) qui dénoncent une "tentative de récupération de l'électorat nordique" qui vote habituellement plus Républicain que Libéral ou Conservateur. Elle consiste à la création d'un "Plan Nord" de 60 milliards de livres sur 20 ans concernant les quatre provinces nordiques (Terres du Nord, Nouvelle Fox, Wrangell et Lisland) qui servira à la rénovation d'infrastructures, l'ouverture de nouvelles lignes de trains, le développement des énergies renouvlables dans le nord et la création de pôles de compétitivité.

L'opposition Républicaine et Conservatrice a vivement réagi à l'annonce de ce plan qu'elle considère comme une tentative d'achat électoral à seulement 2 mois des élections sénatoriales.

Elections Sénatoriales: Le PNG en tête des sondages:




Selon les sondages rendus publics ce matin, le Parti National Goldcityien (Conservateurs, PNG) serait en tête avec environ 27% des suffrages contre 23% pour le PB de Manon Kent et 22% pour les Républicains. Ce scrutin qui s'annonce très serré pourrait donc déboucher sur un parlement sans réelle majorité ou les petits partis qui représenteraient d'après ce sondage environ 28% des sièges du Sénat décideraient de la majorité de tel ou tel parti.

Ainsi parmi les petits partis on retrouve le Parti Communiste Goldcityien (PCG, extrême gauche) crédité de 1% des voix, le Green Party avec 11% (GP,gauche), l'Union Démocrate (UD, centre) et le BN (Bloc National, extrême droite) seraient à égalité avec 8% des suffrages selon ce sondage.

Le rapport de force n'est qu'un sondage et peut donc se confirmer ou non dans les urnes, et évoluer en fonction du temps. Manon Kent est d'ailleurs en train de mener une politique offensive en parcourant le territoire, pour tenter de rallier les électeurs au Parti Libéral (PB, Centre).

Pour rappel les élections sénatoriales se déroulent avec un scrutin proportionnel à deux tours au niveau provincial. Au premier tour toutes les listes ayant obtenu strictement moins de 5% des suffrages sont éliminés (4,99%: éliminé, 5%: Non éliminé) , puis vient le 2éme tour ou les scores (en % de voix) détermineront le nombre de siège de tel parti au Sénat.

Exemple avec trois partis:
La province des Terres du Nord contient 77 sièges sur les 577 du Sénat, quatre partis A, B, C et D se présentent:
Score au 1er tour:
A: 4%: éliminé
B: 25%: se maintient
C: 30%: se maintient
D: 41%: se maintient
Score au 2éme tour et sièges obtenus:
B: 28%: 28%*77= 22 sièges
C: 29%: 29%*77= 22 sièges
D: 43%: 43%*77= 33 sièges

Présidentielle au Sunrise: qui soutient qui?:


Alors que les sunrisiens votent actuellement pour élire leur futur président, 2 mois après la mort de Freddy Howard, de nombreux dirigeants et personnalités ont déclaré leur soutien à certains candidats.

Ainsi Tandis que Mamoon Hussein n'a attiré le soutien d'aucune personnalité d'ampleur, tout comme John Connor, le candidat Républicain George Winston s'est vu apporté le soutien du président de Gallia, d'Aurélian Castle (Président du Polaro), de sa majesté Natsukant John-Phil ainsi que des Républicains de notre pays. De l'autre côté le candidat démocrate et homme fort de cette élection Bruce McKinsey s'est vu apporté le soutien du PNG et de son président William Barker, de Manon Kent, du PB, de Katleen Vaillancourt et du Parti Libéral du Polaro (PLP).

Visite de George Winston au Sarigan:


Le candidat Républicain entend donné une certaien stature internationale à sa campagne en se rendant dans les pays limitrophes et en allant à la rencontre des communautés sunrisiennes vivant dans ces pays. Le Sarigan étant frontalier avec le Sunrise une importante communauté sunrisienne y vit, de l'ordre de 130 000 sunrisiens vivent dans la province, la plus forte concentration étant dans la ville d'Ogdenville(50 000 sunrisiens pour 100 000 habitants).

Le candidat de gauche a donc rencontré Rick Clust, le président du Sarigan et le secrétaire d'état (ministre des affaires étrangères) du gouvernement Kent III William Barker dans cette province conservatrice. La conversation a surtout tourné autour des minorités sunrisiennes et d'économie, donnant lieu à un débat virulent entre les deux conservateurs et le candidat de gauche.

A 13h Mr. Winston s'est donc rendu à Ogdenville à la rencontre de la minorité sunrisienne pour tenter de gagner les voix de ces électeurs établis en RIG. A la fin de la rencontre le Président du Sarigan Rick Clust a déclaré: " Nous ne sommes pas d'accord sur bien des points et il est vrai que je ne soutiens pas votre candidature, cependant, je reconnais votre professionalisme, je suis près à travailler avec vous." Ce à quoi Mr. William Barker a ajouté sobrement: "Nous sommes ravis d'avoir pu faire votre connaissance".