Vos textes, Lun 6 Déc 2010 - 21:25
Après vos vidéos, vos surnom, vos images, vos blagues et tant d'autres que j'oublie voici "vos textes". Vous pourrez y présenter vos écrit en tout genre. Des contes créés au CE2 aux textes de futurs auteurs, tout peut être présenté ici, que vous soyez ou non l'auteur. Si vous n'êtes pas l'auteur indiquez de qui il s'agit.
Et tout ceci pour les amoureux de lecture (et les professeur si ils veulent faire des textes comiques dans certains cas).
Je commence avec un début d'histoire écrit en 5-10 minutes. Il n'y a pas pour le moment de titre. Bonne lecture !
Comme chaque matin, je descends la grande rue Rivoli pour aller acheter le journal dans un kiosque. Ensuite, je vais dans un café pour le lire. Ce matin là, tout en dégustant mon cappuccino, mon regard fut attiré par l'un des gros titre de la Une. Il y avait exactement écrit « De Gaulle malade. Pompidou aux commandes. ». A la fois stupéfait et intrigué, je m'empressais de lire l'article sur le sujet. Celui-ci annonçais – de manière un peu romancé selon moi – que le président était atteint d'un cancer du foie et qu'il de pourrais réintégrer ses fonctions. Je relu l'article plusieurs fois car cette nouvelle me semblait peu réaliste : quelque chose ne tournait pas rond. En effet la veille, dans le milieu de l'après-midi, mon directeur a reçus un coup de téléphone du médecin du Général lui indiquant que l'état de santé du président était très bon. Mais quels rapport entre mon directeur et ce médecin présidentiel ? C'est assez simple, étant donné que mon supérieur est le chef des services secret Français, il doit être informé de tout et en fait profiter ses subordonnés.
Je décidais alors de rentrer dans mon appartement pour tirer cette affaire au clair. Alors que je marchais sur le trottoir, je senti comme un vide autour de moi. Pendant la résistance et jusqu'au début de son mandat en 1958, le Général et moi même avions entretenu des relations assez privilégiés. Seulement, depuis qu'il était devenu président, nous ne nous étions parler que de ou trois fois au téléphone pour prendre quelques nouvelles. Malgré cela, malgré le fait que je ne croyais pas à cette annonce de la presse, je ressentais un vide. Il manquait une personne dans ce pays. Le Général manquait à l'appel. Tout en songeant, je constatait également combien les rues et en particulier la rue Rivoli étaient vides. En même temps, qui aurait envie de sortir en pleine période de manifestations ? Un air frais pour un mois de mai souffla. Aucune voiture ne passait. Seul le bruit des arbre en train de bouger, parvenait jusqu'à mes oreilles.
Comme cela est écrit en 5-10 minutes, je n'est pas corriger les fautes d'orthographe et les problèmes de syntaxe.
Et tout ceci pour les amoureux de lecture (et les professeur si ils veulent faire des textes comiques dans certains cas).
Je commence avec un début d'histoire écrit en 5-10 minutes. Il n'y a pas pour le moment de titre. Bonne lecture !
Comme chaque matin, je descends la grande rue Rivoli pour aller acheter le journal dans un kiosque. Ensuite, je vais dans un café pour le lire. Ce matin là, tout en dégustant mon cappuccino, mon regard fut attiré par l'un des gros titre de la Une. Il y avait exactement écrit « De Gaulle malade. Pompidou aux commandes. ». A la fois stupéfait et intrigué, je m'empressais de lire l'article sur le sujet. Celui-ci annonçais – de manière un peu romancé selon moi – que le président était atteint d'un cancer du foie et qu'il de pourrais réintégrer ses fonctions. Je relu l'article plusieurs fois car cette nouvelle me semblait peu réaliste : quelque chose ne tournait pas rond. En effet la veille, dans le milieu de l'après-midi, mon directeur a reçus un coup de téléphone du médecin du Général lui indiquant que l'état de santé du président était très bon. Mais quels rapport entre mon directeur et ce médecin présidentiel ? C'est assez simple, étant donné que mon supérieur est le chef des services secret Français, il doit être informé de tout et en fait profiter ses subordonnés.
Je décidais alors de rentrer dans mon appartement pour tirer cette affaire au clair. Alors que je marchais sur le trottoir, je senti comme un vide autour de moi. Pendant la résistance et jusqu'au début de son mandat en 1958, le Général et moi même avions entretenu des relations assez privilégiés. Seulement, depuis qu'il était devenu président, nous ne nous étions parler que de ou trois fois au téléphone pour prendre quelques nouvelles. Malgré cela, malgré le fait que je ne croyais pas à cette annonce de la presse, je ressentais un vide. Il manquait une personne dans ce pays. Le Général manquait à l'appel. Tout en songeant, je constatait également combien les rues et en particulier la rue Rivoli étaient vides. En même temps, qui aurait envie de sortir en pleine période de manifestations ? Un air frais pour un mois de mai souffla. Aucune voiture ne passait. Seul le bruit des arbre en train de bouger, parvenait jusqu'à mes oreilles.
Comme cela est écrit en 5-10 minutes, je n'est pas corriger les fautes d'orthographe et les problèmes de syntaxe.
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